"les assistés"

Je vais dire mon sentiment sur "les assistés".


 


 


Les seuls que je reconnais comme assistés, "ceux qui profitent du système", sont ceux qui vivent du travail des autres bien plus largement que du leur alors qu'ils n'en ont pas besoin et même allant jusqu'à accumuler des fortunes qui leur donne le pouvoir sur les autres.


 


 


Je n'en veux pas au retraité de ne plus travailler, il a déjà donné et amplement mérité que la société lui assure les moyens de vivre au travers d'une juste solidarité et d'enfin pouvoir travailler bénévolement (ou pas) enfin débarrassé de la nécessité d'être employé pour vivre décemment.


 


 


Je n'en veux pas au chômeur de ne pas travailler, je sais qu'il voudrait être utile. Il a payé par ses cotisations, le droit de bénéficier d'une ASSURANCE chômage juste et solidaire, qui est bien la moindre des choses que l'on peut offrir à quelqu'un que les employeurs disent inutile et qui s'est fait jeté comme un malpropre.


 


 


Je n'en veux pas au bénéficiaire du Rsa de ne pas travailler, lui aussi voudrait être utile. Parfois chômeur en fin de droit ou n'ayant même pas pu ouvrir les droits au chômage, il est lui aussi victime de la pénurie d'emploi (et pas de travail). Son quotidien ? Sa préoccupation principale ? Trouver de quoi finir le mois, pouvoir manger, se vêtir décemment, payer le loyer... La peur au ventre, il ne sait pas si demain ce qui lui tient lieu de toit ne lui sera pas pris par un avis d'expulsion, il prie pour que son dossier de surendettement aboutisse et qu'on lui prenne tout ce qui lui reste pour lui donner une chance de refaire sa vie et de repartir à 0. Comment fait-il pour survivre ? Il travaille au noir s'il le peut, il fraude pour obtenir de quoi boucler le mois. Il zone et parfois profite d'une caisse tombée d'un camion. Il fait la tournée des boites d'intérim... Tout est bon pour survivre et sa conscience ne pèse parfois pas lourd en face de la possibilité d'égayer l'ordinaire. Non, ceux-là non plus ne sont pas des assistés, nous leur refusons le droit de vivre décemment en les faisant profiter d'une solidarité insuffisante (que nous leur faisons sentir comme étant de la charité, une obole condescendante face à leur inaptitude) pour vivre même simplement qui les pousse à s'arranger avec les règles dès qu'ils ont la possibilité de faire reculer cette peur du lendemain ou pour ce petit bonheur simple dont ils ont été privés trop longtemps.


 


 


Je n'en veux pas au Smicard ou au précaire, qui travaille dur pour une paie ridicule pour une vie décente, de trouver sa paie insuffisante par rapport aux efforts que l'on lui autorise à fournir en lui faisant l’aumône d'un emploi exténuant ou d'un petit nombre d'heures qui ne permettent pas de finir le mois.


 


 


J'en veux à celui qui tire toujours plus de profit de la fortune que lui ou plus sûrement ses ancêtres ont accumulée en volant toujours plus le fruit du travail de ceux qu'ils ont autorisé à travailler pour eux à un salaire trop faible.


 


 


J'en veux à celui qui, estimant la charge de l'impôt trop lourd même s'il lui laisserait plusieurs SMIC par mois, fraude le fisc, s'expatrie ou utilise la loi qu'il a fait voter pour ne pas contribuer à la solidarité nécessaire et prive les autres des ressources d'une vie décente.


 


 


J'en veux à celui qui, à la tête d'une fortune, l'emploie à jouer au grand casino de la bourse dont il connaît toutes les ficelles pour en sortir vainqueur et fait travailler son argent pour lui, ruinant les petits joueurs, fixant les prix des marchandises qui entraînent la ruine des petits ou les famines et qui s'il lui arrive de perdre, se renfloue auprès des états en volant l'argent des impôts et réclame des ressources que tous nous mettrons des années à produire pour effacer sa perte.


 


 


L'assistanat, ce n'est pas être solidaire avec ceux qui ont peu ou fermer les yeux sur les écarts de ceux à qui nous ne permettons pas de vivre décemment par notre solidarité insuffisante.


L'assistanat, ce ne peut être que de permettre à ceux qui ont trop d'obtenir encore plus !

"L'art de la citation est l'art de ceux qui ne savent pas réfléchir par eux-même." Voltaire Wink
"L'avenir ce n'est pas ce qui va arriver, c'est ce que nous allons faire" (Gaston Bachelard)
Profil Facebook: https://www.facebook.com/nicolas.poitier

ça change des conneries qui tournent sur facebook!

Suzon

A cela on peut ajouté le probleme du  systeme d'héritage de biens immobilier.


 


pourquoi certains herite d'un appartement, d'une maison. alors que la majorité n'hérite de rien.


 


Que l'on travaille pour se payer une maison un appartement pour finir ses vieux jour plus sereinement, pourquoi pas, mais la leg a ses enfants pour leurs faciliter la vie je trouve que cela génère des classes sociales inégalitaire.


 


ou est "l'égalité la fraternité" la dedans ?


surtout si quand on est pas propriétaire on doit travailler pour payer son loyer, cela limite aussi "l'égalité".


 


la révolution Francçaise, a légèrement été detournée.

Du coup tu proposes quoi? Tu veux enrayer le droit à la donnation? Tout le monde serait locataire sauf les vieux? Et qui seraient les proprios qui louent les maisons alors? Ou alors, c'est forcément revendu et la thune est reversée aux aides sociales? Je suis pas trop d'accord avec toi.
Le problème pour moi n'est pas d'être propriètaire. C'est plutot un systeme de favorisés, sur d'autre non favorisés, qu'est ce qui justifie cela sinon des inégalités historique a revoir !
je vois deux problemes :
1- les propriètaires qui ont leur bien par un leg
2- les propriètaires qui ont plusieurs biens, et le loue : c'est l'esclavage moderne.

1- Pour les propriètaires qui ont eu leurs biens, par un heritage des parents ; c'est inégalitaire , comment le justifier ? Avant la révolution , il y avait l'héritage de sang aristocratique (et tout les biens et privilèges qui vont avec).

Ensuite il y a eu la révolution, et malheureusement ca a foiré , pourquoi ?

Parceque l'aristocratie a été remplacé par une bourgeoisie (et encore un système pyramidale), qui au lieu de se passer de "pere en fils" un nom et des privilèges, continuent a se passer aussi des privilèges : fonciers, pécuniers.

Ce que je propose, c'est que l'on respecte cette belle phrase issue de la révolution avant qu'elle soit pervertie par l'argent de la bourgeoisie : Liberté, egalité , fraternité.


Alors je suis contre le leg de biens immobilier des parents aux enfants, et d'aileurs de tous legs. C'est biens cela qui produit l'inégalité des chance dans la société. Quand a la fraternité de la part des gens qui sont favorisé j'ai du mal a la voir. Et la liberté, elle est très relative : Quand tu doit travailler pour te payer un loyer ou un remboursement , et quand tu ne dois pas travailler pour payer cela puisque tu le possede déja (juste impots et charges , mais c'est pas enorme), cela ne génère pas du tout la même vie.



Et ce que je propose c'est simple : aucun jeune ne devrait être propriétaire : c'est cela l'égalité : et cela veut dire : au boulot. (désolé si ca te choque parceque tu es propriétaire)
Tout les jeunes devrait payer un loyer, ou alors chaque logement serait preter pour chaque travailleur (pour un minimum de travail), et arrivé a la retraite tu serais proprietaire de ton logement. Mais cette propriéter se terminerais avec ta mort. Le vrai propriètaire serait la cité ou tu vie, c'est ce qui se pratique dans la ville D'Auroville en Indes (tu as le droit de continuer a vivre dans le logement de tes parents mais il ne t'appartient pas , si tu pars, et tu ne peux pas le louer)..., et je pense que c'est une bonne solution. La je pense qu'on pourrais s'approcher de cette phrase :
liberté égalité fraternité...
Chouette article! Donc les assistés ne sont pas non plus des sdf, des femmes qui ont 6 gosses, qui ne foutent rien et qui demandent "une petite pièce" etc...

Les assistés, ce sont des gens qui ne foutent rien et qui ont une cuillère dans le c.. parce qu'ils ont de l'argent et donc peuvent se permettre de vivre de leur argent/de leurs possessions.

Pour les propriétaires, je ne suis pas d'accord avec toi. Il y a les propriétaire de leur maison, qui habitent dans la maison, et les propriétaires qui ont déjà une maison et qui ont encore assez d'argent pour acheter d'autres biens pour les faire louer.

Je suis d'accord au concept de ne pas être propriétaire d'une maison si tu peux quand même y habiter sans devoir être locataire, cad que tu dois payer une somme pour la louer à quelqu'un qui est propriétaire. Pendant 10 ans, de 2002 à 2012, j'ai dépensé au moins 60.000 euros (provenant de mon travail), pour engraisser des propriétaires, sans jamais avoir le bien au final que durant une période limitée, en tant que locataire.
La je décide que dans quelques mois je vais avoir une maison, être propriétaire, et sans doute dépenser (à la banque) plus de 335.000 euros, en 25 ans de temps, pour avoir le droit d'habiter dans une maison qui m'appartiendra au final, afin de ne plus payer à perte des propriétaires.

Au final, certes l'argent (qui n'existe pas à 95%, cf un documentaire), c'est quelque chose que j'obtiens de mon travail et qui me sert à profiter de ma vie. Le truc qui cloche là dedans c'est quand il prend un pouvoir phénoménal sur les gens, leur causant des problèmes, des soucis, du stress, de l'anxiété, des crises de nerfs, des disputes, tout ca pour un truc qui n'existe pas. Donc pour moi de toutes façons, l'argent ne m'empêchera pas d'être heureux, même si j'en manque. Car il y a toujours une solution. Je n'arrive plus à assumer la maison que j'ai acheté? Je la vends et je m'achète un bien plus petit. Une famille n'arrive plus à assumer ses dépenses? Ils peuvent trouver une solution pour les réduire.

Un autre point qui me choque, qui n'a peut-être rien à voir avec le débat mais avec le pouvoir d'achat. Les gens se plaignent et n'arrivent pas à joindre les 2 bouts parce que le pain est trop cher, parce que ceci, parce que cela, mais dans le même temps ils se paient des smartphones, des tablettes, des télés, des trucs totalement futiles...

Maintenant on est arrivé à des situations où chaque membre de la famille travaille et n'arrive pas à faire face à des dépenses parce qu'ils achètent du matériel, ils s'abonnent au fitness, abonnent leurs enfants à des activités sportives ou des stages de vacances, et les gens sont malheureux à la fin du mois quand ils n'ont plus rien. Il y a 50 ans un des 2 parents gardait les enfants (ou les grands-parents, ils savaient s'occuper, avaient moins d'argent et parfois ne joignaient pas les 2 bouts, mais ils étaient heureux. Il faut revenir aux vrais valeurs, ne pas céder aux sirènes du capitalisme. L'argent est nécessaire mais n'est pas crucial. C'est un des moyens pour être heureux mais pas un but en soi
Huum, en fait déjà faudrait que j'arrive à me détacher de l'affect que j'ai pour notre vieille maison, histoire d'arriver à répondre correctement...Et c'est dur ça.
Là où je te rejoins, c'est que par exemple(je vais te faire hurler tu vas me traiter de vendue!) :
Mon père à la maladie d'acheter des maisons: on en a genre 4 qu'on loue, 2 qu'on habite (ma grand mère je la compte, on est proprio de sa maison maintenant, elle peut plus s'occuper des papiers la pauvre), et une dans les alpes (qu'on a jamais acheté d'ailleurs, c'est nos aieux qui l'ont construite). Et il veut encore en acheter, et on va bientôt en récupérer une de la famille. Mais par contre, on vit comme s'ils touchaient que le RSA. On dirait que mes grands parents ont éduqué mon père à tout stocker en l'attente d'une guerre, d'un crash ou je ne sais quoi. Donc, si tu veux, on a des valeurs de paysans affamés, mais en fait mon père a plein de thunes planquées sur un compte. D'ailleurs là je vis avec mon salaire de stagiaire dans un appart à 500 euros que je paye moi. Et je paye aussi mon permis, toute seule. C'est à moi de le payer. De nouveaux riches, en quelque sorte. Bon après mon père il a ça de cool qu'il s'ajuste sur les revenus des gens à qui il loue. Il loue jamais au dessus du tiers des revenus de quelqu'un. Mais bon. Avec cet argent il rachète d'autres maisons (donc on en profite jamais, et lui non plus...)C'est la croissance de la propriété sans but et sans fin, une sorte de capitalisme des propriétés.
Donc avec ça je suis pas d'accord avec lui, et d'accord avec toi.
Donc, voilà ce qu'on veut faire avec mon frère de ces maisons, tu me diras si tu trouves ça critiquable (oui, surement, et t'inquiètes tu me choques pas, au contraire je veux discuter de ça) mais surtout pourquoi.
Je sais que j'ai de la chance, hein, vraiment je te jure je le sais.
Moi, je veux garder deux trucs: la maison, la vieille, dans les alpes, avec l'immense terrain (inconstructible car à 30°Wink qui va avec. Sur ces terrains, y a des petites maisons abandonnées de bergers. Je veux les retaper avec des matériaux naturels, pour faire des "gites" gratuits pour les randonneurs. Avec mes études en matériaux je peux le faire (pas toute seule, mais bon..)
Après: la maison, je veux la prêter aux gens qui en ont besoin. C'est à dire, si des gens veulent monter au ski et que c'est trop cher, ben tac, je leur prête la maison. Pareil en été. On fait déjà pas mal comme ça. Ou alors si quelqu'un est emmerdé (genre pas de travail etc).
Aussi, grâce aux terrains, c'est un super endroit pour organiser des petits festos sans se faire emmerder. On sera indépendants pour ça, aucun compte à rendre ni à la mairie ni à l'état. Bon, avec la loi loopsi, ça limite un peu le truc.

Après, la deuxième, qui est aussi dans les alpes, on veut en faire un gite pour jeunes, avec un ptit resto: le fait d'être proprio enlève la pression du rendement, et donc on pourrait pratiquer des tarifs très bas. Genre 5 euros la nuit avec le petit dej. On veut faire ça pour lutter contre l'embourgeoisement du tourisme montagnard (genre ils ont construit récemment un GOLF et un terrain de karting. Pour les touristes), qui détruit tout sur son passage. Dans ce resto on pourrait enfin faire travailler des cuistots dans le respect (mon copain est cuistot, et sans rire on pourrait gagner aux prudhommes à chacune de ses saisons si on avait le courage de se battre).

Voilà, en fait mon plan c'est d'utiliser la propriété pour protéger des petits bouts du monde. Bien sûr tout ça ne tient qu'à mon sens de la moralité, d'ailleurs faudrait que je réfléchisse à en faire un truc plus communautaire, mais je sais pas encore comment, personne ne voudra habiter en montagne... J'ai pensé aussi à en garder une de plus pour la transformer en sorte de logement social gratuit. C'est super chaud je sais mais j'en rêve super souvent, alors...

Voilà, je veux bien ton avis sur tout ça, j'ai écris un roman, et je m'en excuse, mais on peut pas toujours tout résumer. Je te remercie en tout cas de m'avoir répondu Smile

Déjà, il faudrait surtout limiter le revenu qu'on peut toucher des maisons, voire le supprimer. Ca, ouais, et déjà, ça baiserait bien des aspects du truc. Les gens se feraient plus d'argent avec, resterait plus que les gens qui veulent faire un peu comme moi, ou les jeunes qui vivent gratuitement dans une maison. Plus de rentiers. On pourrait re-répartir les propriétés des gens qui en font un usage individualiste.
A la limite aussi, poser qu'avant ses.. par exemple 35 ans, un jeune ne peut pas hériter. Mais bon si les parents on de la thune ça change pas grand chose, juste le nom sur le bail.

Donc toi, tu dis qu'en fait toutes les maisons appartiendraient à la mairie, et que donc les loyers lui remonteraient, j'ai bien compris? Faudrait être vraiment sûrs que la mairie est irréprochable..

Et l'affectif de la maison, t'en penses quoi, c'est une attitude matérialiste? Parce que vraiment, j'y suis attachée très fort, c'est le seul endroit où je me sente à ma place, ya plus de voitures, on y vit comme ya 50 ans (pas de télé pas de machine à laver, eau de la source, potager..). Mais je suis peut être matérialiste des endroits.

Je souligne que je ne veux pas habiter ces maisons à plein temps, je vais louer mon appart comme tout le monde.
J'ajoute une hypothèse: mon plan doit être interprété avec l'idée que le monde reste sur un modèle capitaliste. Pas que j'en aie envie loin de là, mais si enfin ça change, là alors on pourra tout re-réfléchir, et mon plan n'aura plus lieu d'être, y aura plus besoin de "protéger" des bouts du monde comme ça, la société sera beaucoup moins hostile.
D'ailleurs tant que la société reste ce qu'elle est, ce que fait mon père rejoint ce que je veux faire: il dit que si on les achète pas et qu'on les loue pas, quelqu'un d'autre va le faire et les louer le double. Donc tant que la propriété existe, ce qu'il fait c'est pas si mal, on profite jamais des sous, juste on achète une maison qu'on loue moins cher que n'importe qui d'autre, et etc. Un parc de maison low-cost.
Tes idées sont très bien. Finalement en ayant le courage de se regarder soi-même , on sait très bien chacun ce qui est juste ou pas, et comment faire si on arrive pas a lacher ses attaches (c'est humain l'affectif a un lieu), au moins faire au mieux pour partager un peu.
Je suis contente que tu ne m'aie pas crucifiée, merci. J'aimerais partager le plus possible, mais je sais que la société m'a implanté beaucoup de peurs et de clichés, et beaucoup d'attaches aussi d'ailleurs, j'aimerais les enlever, et peut être que cette vision des choses un peu "consensuelle" est due à ça. C'est très complexe de se regarder sans se mentir. T'en ferais quoi toi de ça dans la même situation?
Ca, c'est bien vrai. Et c'est la plus malheureuse des conséquences du matraquage publicitaire: créer un besoin tellement impératif de l'accessoire qu'il supplante celui du vital. On a créé l'illusion d'une société d'omnipotents, dans laquelle ta place se mesure à tes possessions matérielles. Les gens pensent donc que sans I-phone, ils ne seront jamais intégrés. Et c'est pas entièrement faux..

Oliiive a dit...


Un autre point qui me choque, qui n'a peut-être rien à voir avec le débat mais avec le pouvoir d'achat. Les gens se plaignent et n'arrivent pas à joindre les 2 bouts parce que le pain est trop cher, parce que ceci, parce que cela, mais dans le même temps ils se paient des smartphones, des tablettes, des télés, des trucs totalement futiles...

Maintenant on est arrivé à des situations où chaque membre de la famille travaille et n'arrive pas à faire face à des dépenses parce qu'ils achètent du matériel, ils s'abonnent au fitness, abonnent leurs enfants à des activités sportives ou des stages de vacances, et les gens sont malheureux à la fin du mois quand ils n'ont plus rien. Il y a 50 ans un des 2 parents gardait les enfants (ou les grands-parents, ils savaient s'occuper, avaient moins d'argent et parfois ne joignaient pas les 2 bouts, mais ils étaient heureux. Il faut revenir aux vrais valeurs, ne pas céder aux sirènes du capitalisme. L'argent est nécessaire mais n'est pas crucial. C'est un des moyens pour être heureux mais pas un but en soi
je ferais certainement pas mieux que toi Tongue. Il faut essayer de garder le coeur ouvert vers les gens qui ont moins de chance que toi, mais sans non plus te faire mal.
Ca sonne comme les contes philosophiques de sages bouddhistes Smile
Ouais sauf que dans la vie c'est plus difficile on s'en prend plein la tronche !!! Evilgrin


Dans les contes, les sages n'ont pas peur de perdre, tout simplement parceque ils ne s'attache pas, ce qui est loin d'être notre cas...
D'où la question sur le fondement de la notion d'attachement... Diogène et son tonneau aurait il tout compris ?