J'entends de plus en plus de discours négatif vis à vis de l'espèce humaine. Des discours extrême prônant la disparition de l'humain irresponsable, désespérant, néfaste, fataliste au profit d'une planète sans humains...Je trouve ce phénomène extrêmement grave!Des enfants en arrivent à tenir des discours anti-humains donnant plus d'importance à la vie des gentils animaux qu'ils ne connaissent pas qu'à la vie d'humain qu'ils ne connaissent pas...J'ai même été confronté à des gens qui me disent que la disparition de l'humanité serait un bien pour la planète ou disant que la vie animale (de certains apparemment, parce qu'ils n'ont que faire des fourmis par exemple) vaut autant qu'une vie humaine....Il est grand temps de réaffirmer que nous sommes humains et que l'Homme est aussi capable du meilleur, qu'il n'y a pas de fatalité et que oui, l'Homme n'est pas un animal comme les autres, que le simple fait qu'il soit conscient et l'aboutissement le plus complexe de toute vie connue fait de lui un animal particulier qui mérite plus de vivre que n'importe quel animal.Car déjà que l'on est pas sûr que la vie doté d'intelligence ait un sens, il est certain que sans elle n'en a pas...
Le travail est immense, nous sommes en train non seulement de nous désespérer dans l'utilité de nos propres vies, mais de faire en sorte de par nos discours fatalistes de désespérer nos propres enfants dans l'utilité de leur vie et cela avant même qu'il ne l'aient entamé!
La seule optique dans laquelle peut être envisagée leur propre existence avec de tels discours, si elle ne débouche pas sur un suicide, est la mission au nom de la nature qui consiste à faire disparaître l'humanité toute entière!
Retrouvons espoir en nous, retrouvons espoir en l'Humain, ce n'est pas un choix, c'est une nécessité, une condition nécessaire à la survie et la seule possibilité d'un monde meilleur pour l'humanité.
Vous êtes humains, si vous ne croyez pas en vous, comment pouvez vous vivre, comment pouvez vous vouloir une amélioration pour vous ou l'humanité?
Le travail est immense, nous sommes en train non seulement de nous désespérer dans l'utilité de nos propres vies, mais de faire en sorte de par nos discours fatalistes de désespérer nos propres enfants dans l'utilité de leur vie et cela avant même qu'il ne l'aient entamé!
La seule optique dans laquelle peut être envisagée leur propre existence avec de tels discours, si elle ne débouche pas sur un suicide, est la mission au nom de la nature qui consiste à faire disparaître l'humanité toute entière!
Retrouvons espoir en nous, retrouvons espoir en l'Humain, ce n'est pas un choix, c'est une nécessité, une condition nécessaire à la survie et la seule possibilité d'un monde meilleur pour l'humanité.
Vous êtes humains, si vous ne croyez pas en vous, comment pouvez vous vivre, comment pouvez vous vouloir une amélioration pour vous ou l'humanité?
"L'art de la citation est l'art de ceux qui ne savent pas réfléchir par eux-même." Voltaire 
"L'avenir ce n'est pas ce qui va arriver, c'est ce que nous allons faire" (Gaston Bachelard)
Profil Facebook: https://www.facebook.com/nicolas.poitier
"L'avenir ce n'est pas ce qui va arriver, c'est ce que nous allons faire" (Gaston Bachelard)
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- 24 Septembre 2012 2:31
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Chacun de nos actes comptent. Continuer sur notre lancée, même en se disant à quoi bon, est plus dommageable que de faire de son mieux pour effectuer un changement, même minime et local, par nos actions. Il n'est jamais trop tard mais ce ne sera pas en 2100, en 2050, ni en 2020, ni même en 2013 qu'il faut changer. C'est MAINTENANT. Sinon on le fera jamais
Lorsqu'on me dit que l'Homme est naturellement mauvais je réplique que pour connaitre la nature humaine je ne regarde pas l'Homme mais l'enfant en bas âge.
Les enfants sont ils si mauvais ? Si égoïstes ? C'est tout l'inverse.
J'explique que je suis convaincu que c'est le système dans lequel nous vivons qui nous rend individualistes, que ce n'est pas la nature de l'Homme.
Le problème est qu'il nous faut évoluer spirituellement, réapprendre à Être.
Le problème c'est qu'il faut changer le système.
Les enfants sont ils si mauvais ? Si égoïstes ? C'est tout l'inverse.
J'explique que je suis convaincu que c'est le système dans lequel nous vivons qui nous rend individualistes, que ce n'est pas la nature de l'Homme.
Le problème est qu'il nous faut évoluer spirituellement, réapprendre à Être.
Le problème c'est qu'il faut changer le système.
Pour revenir au titre du sujet : quel avenir ?
Il y a de quoi en douter quand on voit la misère et les crises, l'inertie et le consumérisme, le nucléaire et la pollution, la bêtise fasciste/extrêmiste, etc ... mais ne soyons pas non plus trop fatalistes !
Ce qui nous guette surtout ce n'est pas la fin DU monde mais la fin d'UN monde : celui du pétrole fou, de l'énergie gâchée, de l'industrie polluante, des multinationales sans foi ni loi, de la spéculation dérégulée, j'en passe ...
L'avenir à mon sens ne peut être qu'une sobriété heureuse, relocalisée, démocratisée - ou ne sera pas.
Il y a de quoi en douter quand on voit la misère et les crises, l'inertie et le consumérisme, le nucléaire et la pollution, la bêtise fasciste/extrêmiste, etc ... mais ne soyons pas non plus trop fatalistes !
Ce qui nous guette surtout ce n'est pas la fin DU monde mais la fin d'UN monde : celui du pétrole fou, de l'énergie gâchée, de l'industrie polluante, des multinationales sans foi ni loi, de la spéculation dérégulée, j'en passe ...
L'avenir à mon sens ne peut être qu'une sobriété heureuse, relocalisée, démocratisée - ou ne sera pas.
Je dois avouer que l'avenir me fait un peu peur. Les risque de 3ème guerre mondiale et les plans de l'élite de l'élite m'inquiètent.
Certains autour de moi sont convaincus que cela ne peut être évité. Je suis en désaccord, pour moi, cela dépend de nous. But still afraid.
Certains autour de moi sont convaincus que cela ne peut être évité. Je suis en désaccord, pour moi, cela dépend de nous. But still afraid.
Pour faire la guerre il faut des gens prêts à s'entretuer.
Alors quelquesoient les plans de l'élite (qui pour moi n'en a pas d'autre que rester en place et faire du fric à tout prix, y compris casse sociale et gâchis environnemental) le meilleur moyen de les combattre c'est de déconstruire les propagandes (pensée unique et fascisme) en créant du même coup les conditions de la coopération, du débat réel entre les gens, les Peuples.
Reste qu'à un moment il faudra bien remettre en question le mode de vie occidental, la surconsommation, la pollution. Les signes vont de Fukushima aux gaz de schiste en passant par les OGM et tout ce qui est jeté à la poubelle par les supermarchés : nous allons dans le mur.
"Soyons le changement que nous voulons voir en ce monde", disait Ghandi, et cela les mouvements indignés/occupy l'ont plus que compris, ils l'appliquent autant qu'ils le peuvent. A chacun(e) de faire ce qu'il peut à son échelle ...
Alors quelquesoient les plans de l'élite (qui pour moi n'en a pas d'autre que rester en place et faire du fric à tout prix, y compris casse sociale et gâchis environnemental) le meilleur moyen de les combattre c'est de déconstruire les propagandes (pensée unique et fascisme) en créant du même coup les conditions de la coopération, du débat réel entre les gens, les Peuples.
Reste qu'à un moment il faudra bien remettre en question le mode de vie occidental, la surconsommation, la pollution. Les signes vont de Fukushima aux gaz de schiste en passant par les OGM et tout ce qui est jeté à la poubelle par les supermarchés : nous allons dans le mur.
"Soyons le changement que nous voulons voir en ce monde", disait Ghandi, et cela les mouvements indignés/occupy l'ont plus que compris, ils l'appliquent autant qu'ils le peuvent. A chacun(e) de faire ce qu'il peut à son échelle ...
Je pense que le citoyen de maintenant est bien plus informé que ne l'était celui d'il y a 50, voire même 30 ans.
Internet est pour moi la meilleure révolution qui puisse exister, car elle permet de s'informer à travers des milliers de sources différentes, ce que ne permet pas la télévision, qui diffuse de l'info certes, mais selon les méthodes qui les arrange, en zoomant ce qui les arrange et en omettant ce qui les arrange.
Alors qu'Internet nous pousse à nous remettre en question. Il ne faut pas être fataliste, mais il ne faut pas non plus s'endormir ni être trop confiant. Il faut surtout se rendre compte que ce n'est pas en disant "je vais changer", ni en débattant de multiples solutions, mais en AGISSANT. Cela passe par une remise en question complète de notre mode de consommation, de nos actes au quotidien mais dont la plupart sont anodins.
Acheter un McDo ou un sandwich dans une grande surface, ou bien préparer ses repas ou acheter dans un magasin local?
Utiliser sa voiture ou bien les transports en communs (ou aller à pied ou à vélo)?
Faire ses courses au marché ou dans des magasins bios, ou dans les supermarchés style Carrouf?
Avoir du temps libre entre 2 activités et le passer dans un parc en lisant un livre, ou en allant dans un centre commercial et forcément revenir avec des brolls inutiles mais qu'on achète pour combler un manque?
Acheter son pain chez Carrouf ou dans une bonne boulangerie?
Toujours avoir avec soi des sacs réutilisables pour ses fruits et légumes ou bien ne jamais en prendre et contribuer à la pollution de l'environnement par le plastique?
Acheter des aliments avec des emballages recyclables, ou avec 36 emballages plastiques polluants?
Bref... Chaque action change un peu du monde qui nous entoure. Il n'y a pas de frontières.
J'ai lu notamment dans un livre sur le bouddhisme ceci: "En tant que consommateur, chaque personne est une cellule de base de notre système économique. Chaque fois que nous ouvrons notre porte-monnaie, nous exercons un pouvoir réel. Il faut baser nos achats sur des critères éthiques et environnementaux."
Internet est pour moi la meilleure révolution qui puisse exister, car elle permet de s'informer à travers des milliers de sources différentes, ce que ne permet pas la télévision, qui diffuse de l'info certes, mais selon les méthodes qui les arrange, en zoomant ce qui les arrange et en omettant ce qui les arrange.
Alors qu'Internet nous pousse à nous remettre en question. Il ne faut pas être fataliste, mais il ne faut pas non plus s'endormir ni être trop confiant. Il faut surtout se rendre compte que ce n'est pas en disant "je vais changer", ni en débattant de multiples solutions, mais en AGISSANT. Cela passe par une remise en question complète de notre mode de consommation, de nos actes au quotidien mais dont la plupart sont anodins.
Acheter un McDo ou un sandwich dans une grande surface, ou bien préparer ses repas ou acheter dans un magasin local?
Utiliser sa voiture ou bien les transports en communs (ou aller à pied ou à vélo)?
Faire ses courses au marché ou dans des magasins bios, ou dans les supermarchés style Carrouf?
Avoir du temps libre entre 2 activités et le passer dans un parc en lisant un livre, ou en allant dans un centre commercial et forcément revenir avec des brolls inutiles mais qu'on achète pour combler un manque?
Acheter son pain chez Carrouf ou dans une bonne boulangerie?
Toujours avoir avec soi des sacs réutilisables pour ses fruits et légumes ou bien ne jamais en prendre et contribuer à la pollution de l'environnement par le plastique?
Acheter des aliments avec des emballages recyclables, ou avec 36 emballages plastiques polluants?
Bref... Chaque action change un peu du monde qui nous entoure. Il n'y a pas de frontières.
J'ai lu notamment dans un livre sur le bouddhisme ceci: "En tant que consommateur, chaque personne est une cellule de base de notre système économique. Chaque fois que nous ouvrons notre porte-monnaie, nous exercons un pouvoir réel. Il faut baser nos achats sur des critères éthiques et environnementaux."
Je pense que la peur est toujours mauvaise conseillère...
Beaucoup de vos propos me font penser à du fascisme écologique, la solution, la culpabilité, la stigmatisation ne doivent pas être mise sur l'individu. Les solutions sont globales et passent par un changement qui doit passer par une modification des façons de produire, cela changera de fait la façon de consommer et n'aura pas comme inconvénient de culpabiliser l'individu au Smic (quand il a la chance de bosser) qui boucle difficilement ces fin de mois et qui se trouve culpabilisé et stigmatisé en tant que mauvais citoyen parce qu'il ne peut pas acheter bio ou n'a pas le temps de se renseigner sur pu acheter bio et de s'y rendre.
Sortez de la pensée dominante qui tente de vous faire croire que vous êtes responsables et de vous faire payer plus cher une fausse qualité environnementale qui n'est qu'un filon commerciale de plus pour vous faire les poches...
Beaucoup de vos propos me font penser à du fascisme écologique, la solution, la culpabilité, la stigmatisation ne doivent pas être mise sur l'individu. Les solutions sont globales et passent par un changement qui doit passer par une modification des façons de produire, cela changera de fait la façon de consommer et n'aura pas comme inconvénient de culpabiliser l'individu au Smic (quand il a la chance de bosser) qui boucle difficilement ces fin de mois et qui se trouve culpabilisé et stigmatisé en tant que mauvais citoyen parce qu'il ne peut pas acheter bio ou n'a pas le temps de se renseigner sur pu acheter bio et de s'y rendre.
Sortez de la pensée dominante qui tente de vous faire croire que vous êtes responsables et de vous faire payer plus cher une fausse qualité environnementale qui n'est qu'un filon commerciale de plus pour vous faire les poches...
"L'art de la citation est l'art de ceux qui ne savent pas réfléchir par eux-même." Voltaire
"L'avenir ce n'est pas ce qui va arriver, c'est ce que nous allons faire" (Gaston Bachelard)
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"L'avenir ce n'est pas ce qui va arriver, c'est ce que nous allons faire" (Gaston Bachelard)
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Il ne faut pas que les gens se sentent coupables, il faut que les gens se sentent responsables! En effet, le changement ne viendra pas d'en haut, mais plutôt d'en bas! C'est le peuple qui doit faire pression et amorcer le changement pour que les politiques prennent des décisions et que les industriels y soient contraints.
La clé c'est de consommer moins, mais surtout de consommer mieux. Ce qui grève le pouvoir d'achat du citoyen ce n'est pas la question que ca coûte plus cher, c'est la question que ca coûte. Il faut que les citoyens retrouvent leur autonomie. Qu'il aille directement à la source, sans passer par ces nombreux intermédiaires, pour ses achats de lait, de fruits et légumes... Encourager le vrai coût, le coût humain, plutôt que le coût qu'impose les industriels. Au final, je me dis même que ca coûtera moins cher si on se fournit localement et à la source, pour nos produits de consommation courante. Il faut que les gens se rendent compte d'où vient leurs denrées, quel travail a été fait de l'étape de la matière première jusqu'au supermarché. Se dire que le coût sera le même, voire même moindre, tout en améliorant la qualité humaine et de vie des gens qui font les produits qu'on achète, si on se fournit chez eux plutôt que chez les nombreux intermédiaires.
Un exemple, je ne connais pas les chiffres exacts, mais celui qui produit du lait le vend entre 0,25 et 0,35 euros du litre au premier maillon. Et au dernier maillon, le client paie entre 0,80 et 1 euro du litre. Le client donc donne 3/4 de son argent au grossiste, au transporteur, au supermarché, et celui qui produit le lait lui n'a qu'1/4. Vous trouvez ca normal? Moi je ne demanderais pas mieux que d'acheter le lait directement chez lui, même à 0,7 euros (voire même à 1 euro) si je sais que même avec son installation et ses obligations de qualité, il aura quand-même 3/4 à 90% du prix du lait qu'il vend.
C'est exactement pareil pour ceux qui vendent des fruits, des légumes, des céréales, du fromage, ...
La clé c'est de consommer moins, mais surtout de consommer mieux. Ce qui grève le pouvoir d'achat du citoyen ce n'est pas la question que ca coûte plus cher, c'est la question que ca coûte. Il faut que les citoyens retrouvent leur autonomie. Qu'il aille directement à la source, sans passer par ces nombreux intermédiaires, pour ses achats de lait, de fruits et légumes... Encourager le vrai coût, le coût humain, plutôt que le coût qu'impose les industriels. Au final, je me dis même que ca coûtera moins cher si on se fournit localement et à la source, pour nos produits de consommation courante. Il faut que les gens se rendent compte d'où vient leurs denrées, quel travail a été fait de l'étape de la matière première jusqu'au supermarché. Se dire que le coût sera le même, voire même moindre, tout en améliorant la qualité humaine et de vie des gens qui font les produits qu'on achète, si on se fournit chez eux plutôt que chez les nombreux intermédiaires.
Un exemple, je ne connais pas les chiffres exacts, mais celui qui produit du lait le vend entre 0,25 et 0,35 euros du litre au premier maillon. Et au dernier maillon, le client paie entre 0,80 et 1 euro du litre. Le client donc donne 3/4 de son argent au grossiste, au transporteur, au supermarché, et celui qui produit le lait lui n'a qu'1/4. Vous trouvez ca normal? Moi je ne demanderais pas mieux que d'acheter le lait directement chez lui, même à 0,7 euros (voire même à 1 euro) si je sais que même avec son installation et ses obligations de qualité, il aura quand-même 3/4 à 90% du prix du lait qu'il vend.
C'est exactement pareil pour ceux qui vendent des fruits, des légumes, des céréales, du fromage, ...