Illuminatis, 11 septembre... les obstacles à la révolution.

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Selon mon propre vécu, et sans vouloir cautionner en bloc le dit "conspirationnisme, je peux certifier que certains complots existent.

D'une part, j'ai rencontré plusieurs personnes qui me l'ont avéré, je n'en citerai que trois :

Henri Brogneaux, que j'avais rencontré au Paraguay, en 1982, présenté par un ami commun, lequel Henri avait été cadre supérieur dans le "SDECE" (rebaptisé "DGSE" par Mitterrand). Industriel, il était en train de "réaliser" selon son expression, c'est-à-dire "vendre" son affaire et était installé confortablement dans la capitale depuis 1980....il m'avait dit que la raison en était qu'il savait que Mitterrand allait être élu un an plus tard et qu'il avait voulu "sauver ses meubles". C'est ainsi qu'il m'apprit que le suffrage est un leurre et que l'Oligarchie Financière qui dirige tout dans l'ombre met en place celui qui est nécessaire sur le moment en faisant croire au peuple que c'est lui qui choisit ses dirigeants.

J'ai rencontré dans le train, quelques années plus tard, un homme de 85 ans qui avait été majordome d'un lord anglais agent secret, et, au cours de notre long voyage il me parla des conversations qu'il entendait lorsqu'il dirigeait le service de table. Il ressortait de ses propos que tous les évènements politiques, belligérants et autres situations géopolitiques étaient commandités par une puissante organisation financière internationale, selon ses propres termes.

J'ai, enfin, rencontré, vers 1986-7, chez des amis communs, un documentaliste écrivain, Yan Moncomble, qui m'apprit l'existence de la puissante "Trilatérale" créée par David Rockefeller, laquelle, selon ses propres enquêtes, donnait ses ordres aux différents gouvernements rassemblés annuellement.

Il y a trois ans, un ami me montra une video dont la lecture m'incita à enquêter sur ces problèmes. Il s'agit de l'interview du producteur Aaron Russo que je joins à ce post. Mon enquête s'est cantonnée dans les "témoignages directs", videos ou écrits et vérifiables.

Par contre, je ne cautionne pas "Illuminatis and C°", car les éléments à disposition ne sont pas vérifiables.

Je suis persuadé que cette crise financière en dominos internationale fait partie d'un plan préalable pour détruire les pays et les rassembler sous un même gouvernement mondial neo-féodal.

Je suis persuadé qu'il existe deux actions pour se débarrasser de ce joug. Il ne s'agit pas d'une révolte armée qui serait aussitôt écrasée par les pouvoirs en place qui y sont préparés (il suffit de consulter, par exemple, l'Article 62 du Traité de Lisbonne signé dans notre dos par Sarkozy) lesquels appliqueraient sur-le-champ la loi martiale générale, avant-goût de ce qui nous attend si personne ne bouge.

La première action consiste à diffuser l'information au grand-jour car, selon des écrits et paroles relevés, cette Oligarchie veut rester dans l'ombre, en tous cas pour l'instant....

La deuxième est l'action informatique des Anonymous (à condition d'une méticuleuse concertation stratégique et décidée au préalable), telle que réalisée à l'encontre du site officiel du FBI lors de la fameuse arnaque juridique perpétrée sur Megaupload. Evidemment pour faire pression, il ne faut pas bloquer un ou plusieurs sites névralgiques pendant une seule journée, mais procéder à durée et répétition. Quel serait le premier enjeu de ce chantage activiste ? L'abrogation de l'Article 123 du Traité de Lisbonne, véritable arnaque dont les conséquences sont la crise économique internationale actuelle...et qui n'en est qu'à ses débuts.

Pour cette abrogation, la France ne peut agir seule puisqu'elle obéit à Bruxelles, sauf si elle quitte le statut européen, ce qui n'est pas envisageable; il faut donc que ce soit Bruxelles qui agisse. L'action de bocages de sites (ou autres actions)doit donc se faire à l'échelle européenne.

Cette abrogation serait un premier pas. Elle détruirait la première partie de leur plan.

Les pouvoirs en place connaissent très bien cette possibilité activiste par les moyens informatiques puisqu'ils veulent brider, mettre la main progressivement sur Internet au moyen d'une succession de lois genre ACTA.

Pour conclure, je ne lis pas les écrits des autres pour me faire une opinion sur cette réalité, mais sur mon propre vécu.
Pièces jointes
Sans autre maître que mon propre Destin