Situations d'emprise à déjouer.

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à toutes fins utiles, j'ai trouvé cet article dans lequel il m'a semblé qu'on touchait du doigt quelques aspects desquels prendre conscience qu'en on se sent sous emprise psychologique.

http://www.la-psychologie.com/manipulation.htm

putain j'en ai marre , je rentre de chez mumu , elle m'a appellée ce matin en me disant que ça allais pas qu'il fallait que j'appel le 112 pour elle et que j'aille la rejoindre en lui portant des clopes, pour attendre l'ambulance avec elle.elle me demande tout le temps des services et en plus elle me repproche de jamais passer la voir,hier c'est leati , qui a un gamin, qui a pas fait sa déclaration de rsa a temps qui m'a appellé pour que je lui depanne des pates et du jambon en urgence , eelle me reproche aussi de pas l'appellé au tel et de pas passer la voir plus souvent , cette nuit c'est agnés qui m'a envoyé des sms en me disant qu'elle se suicidais et que j'en avait rien a foutre , j'en ai plein le dos, j'ai vraiment mal au dos , et je me demande si c'est moi qui ai un problèmes et qui attires que des gens comme ça, enfin bon je vais me faire un café et me calmer, mais sérieux je crois que je les attire , ou j'ai pas les couilles de les envoyer chier , je sais pas....

Tu as lu l'article? J'en avais trouvé un autre qui parlait plus précisément du "profil recherché", les prédispositions en quelque sorte. Je mettrais des extraits si j'ai le temps en rentrant du taf.
En gros, ça commence par une grande capacité d'empathie, une volonté d'aider les autres, jusque là tout va bien.
ça se corse quand on s'en oublie soi-même à mon avis.

Perso je n'ai pratiquement plus jamais eu ce problème in the real life depuis que j'ai eu affaire à une grand⁻mère culpabilisante, qui utilisait sa souffrance pour s'assurer ma collaboration au delà de mon propre bien-être, je mets les distances à temps, et pourtant j'ai quelques amies qui auraient eu tôt fait d'en profiter si j'avais fait taire mes besoins propres à leur profit. Mais la limite est délicate à trouver, et en effet, quand on en souffre et qu'on laisse les autres nous reprocher de ne pas faire plus encore que ce qu'on aurait déjà pas du accepter, c'est qu'on l'a dépassée. Après il faut en sortir, ce qui n'est pas une mince affaire sur le coup.
Mais c'est jouable, j'ai testé pour vous

merci myiette , j'avais grave les boules ce matin , mais apparemment la copine qui est partit aux urgences c'était pas pour rien , ils l'ont gardée , placée sous oxygène avec une sonde gastrique, bref je regrette pas d'y être allé, par contre pour agnés c'est mort je peut rien pour elle , elle ne peut que appeler le 112 elle même, et là je la zap définitif....quand on peut faire quelque chose, ça en vaut toujours la peine , mais pour ceux pour qui on peut rien faire , il ne reste plus qu'a faire confiance aux institutions et se protéger des souffrance inutiles , mais quand ça s'accumule défois c'est dur de faire le tri...