Commentaires : Problèmes récurrents

Depuis hier j'ai le message "SMTP Error: Could not authenticate." à chaque commentaire que je poste, mais ce commentaire était néanmoins publié (après un "pédalage dans la semoule" que j'interromps en actualisant la page) et ne disparait pas.

Aujourd’hui, nouveauté pour un commentaire d'un événement : il est publié avant que je ne termine son écriture et impossible de l'éditer pour le compléter.

Je vais effacer le cache pour voir si cela disparait.
« Ceux qui savent ne parlent pas, ceux qui parlent ne savent pas. Le sage enseigne par ses actes, non par ses paroles. »
Autre souci : Les notifications m'indiquent de très nombreuse réponses de Beat Nykk à des publications (datant parfois de quleques mois) mais je ne vois rien du tout)
« Ceux qui savent ne parlent pas, ceux qui parlent ne savent pas. Le sage enseigne par ses actes, non par ses paroles. »
J'oubliais aussi de signaler que depuis hier, je ne peux pas lire directement les commentaires fait à la publication au sujet des "émeutes de Rennes" (pour reprendre le propos du rédacteur de la publication partagée). Je suis obligé de me rendre sur la page "Résistance.tk" sur laquelle elle a été postée pour lire tout à fait normalement tous ses commentaires, dont le nouveau qui avait été signalé dans les notifications.
« Ceux qui savent ne parlent pas, ceux qui parlent ne savent pas. Le sage enseigne par ses actes, non par ses paroles. »

J'oubliais aussi de signaler que depuis hier, je ne peux pas lire directement les commentaires fait à la publication au sujet des "émeutes de Rennes" (pour reprendre le propos du rédacteur de la publication partagée). Je suis obligé de me rendre sur la page "Résistance.tk" sur laquelle elle a été postée pour lire tout à fait normalement tous ses commentaires, dont le nouveau qui avait été signalé dans les notifications.

De même. Je ne parviens pas à accéder à tous les commentaires, seulement aux quelques derniers. Comprend pas...
On voit ça avec Pascal ...
Normalement c'est réglé, on a vu d'où ça venait.