Fukushima made in France (bientôt sur vos écrans)

"Aucun danger pour la santé, rassure-t-on aujourd’hui à la centrale. Les taux détectés sont de l’ordre de 60 Becquerel/litre, ce qui est infime. Par comparaison, un litre de lait émet 80 Bq »"
La communication d'EDF n'a pas changer depuis 40 ans. Espérons que le justice sache punir comme il se doit ces gens là, et derrière, l'Etat
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Et côté transparence, Areva précise que « la réglementation relative au transport des combustibles usés et des déchets radioactifs nous impose de ne pas communiquer les itinéraires pour des raisons de sécurité ». Mais tant Areva que la SNCF estiment que ces convois se font dans des conditions optimum de sécurité. Dans ces conditions, pas facile pour les élus, la population et les cheminots d’y voir clair.
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IL N'Y A AUCUN DANGER POUR LA POPULATION, NOUS CONTRÔLONS LA SITUATION !
Je répète
IL N'Y A AUCUN DANGER POUR LA POPULATION, NOUS CONTRÔLONS LA SITUATION !
Le 12 septembre dernier, nous étions une quarantaine de militants du collectif Stop Uranium à bloquer un camion chargé d’uranium, à la sortie de l’usine Comurhex Malvési, située dans la banlieue de Narbonne (Aude). Après l’action, une de nos camarades a été placée en garde à vue. Elle est convoquée au tribunal de grande instance de Narbonne le mardi 7 janvier 2014.

Stop Uranium est un collectif d’individus qui s’est formé pour lutter contre l’industrie nucléaire en organisant des actions de désobéissance civile. Toutes et tous, nous avons, au cours de notre vie militante, participé à des manifestations, actions d’information, d’interpellation des autorités… Des démarches officielles ont été entreprises. Mais face à l’opacité de l’industrie nucléaire et au poids du lobby, ces démarches ont toujours été vaines. Nous avons donc décidé d’entrer en résistance, nous opposant de manière collective et non-violente à l’industrie de l’uranium, dans ce qu’elle comporte d’inadmissible dans son fonctionnement quotidien et routinier.
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"A 50 km au nord de Bordeaux, la centrale nucléaire du Blayais, victime en 1999 d'une inondation, assurait "surveiller attentivement la situation", expliquant qu'en cas de "vigilance renforcée", 80 agents resteraient mobilisés sur place pour ne pas être tributaires de routes coupées."
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Pas mal cette idée d'avoir installer une centrale sur une île potentielle !
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HERVÉ KEMPF (REPORTERRE)
"Un accident nucléaire grave est France est maintenant officiellement reconnu comme une possibilité à laquelle il faut se préparer : c’est le sens du "Plan national de réponse ’Accident radiologique ou nucléaire majeur’ " publié le 3 février par le Secrétariat général de la défense et de la sécurité intérieur.

On est surpris que la nouvelle ait suscité peu d’échos. Mais c’est ainsi."
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Samedi, à 22 h 00, l'unité de production n° 2 de la centrale de Flamanville s'est isolée du réseau électrique et a cessé de produire. Cet arrêt s'est produit à la suite d'un défaut sur le réseau de transport d'électricité, indique EDF. L'électricien précise que "l'ensemble des systèmes de protection a parfaitement fonctionné".

Simultanément, sur l'autre unité de production électrique, un court-circuit s'est produit sur un des pôles du transformateur principal de l'unité n° 1, entraînant un arrêt automatique du réacteur. Les deux unités étaient à pleine puissance au moment de ces incidents, Actuellement, elles n'alimentent plus le réseau en électricité.
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M. Martin, ministre de l’écologie, a beau avoir l’énergie dans son portefeuille, le dossier est directement piloté par l’Elysée qui organise des réunions où sont aussi conviés Pierre Moscovici (économie), Bernard Cazeneuve (bugdet) et Arnaud Montebourg (redressement productif).

Décidé à faire de la France un pays « sobre en carbone » et à diversifier son mix énergétique – notamment en faisant monter en puissance les énergies renouvelables –, M. Hollande s’est engagé à réduire de 75 % à 50 % la part de l’électricité d’origine nucléaire d’ici à 2025 et à fermer la plus ancienne centrale française, Fessenheim, en Alsace. Autant de promesses saluées par Europe Ecologie-Les Verts qui, du coup, parie sur la fermeture d’une vingtaine de réacteurs.
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L'enjeu posé par ces opérations de maintenance, réalisées à l'occasion du rechargement en combustible des réacteurs nucléaires, prend "une acuité particulière aujourd'hui", s'est inquiété, ce jeudi 13 février, le président de l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN), Pierre-Franck Chevet. "En cinq ans, le volume des travaux réalisés pendant les arrêts de tranche a été plus que doublé!", a-t-il souligné lors d'une audition devant la commission d'enquête sur la filière nucléaire de l'Assemblée nationale.

"On constate, et EDF aussi, qu'entre la prévision de planning initial d'EDF et celui effectivement réalisé, il y a un écart de plus de 50%" en termes de délai, a ajouté le président de l'ASN, interrogé par les députés sur les opérations de maintenance et le recours à la sous-traitance dans le parc nucléaire français.
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