La FED (Réserve fédérale) est une arnaque

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La FED (Réserve fédérale) est une arnaque

(Cet article n'existe que pour évoquer la source de l’article 25 de la loi 73-7, remplacé par L’Article 104 du Traité de Maastricht, remplacé à son tour par l'Article 123 du Traité de Lisbonne, dont une des continuités d'application aura lieu le premier janvier 2013: Le nouveau Traité européen (TSCG) http://www.youtube.com/watch?v=6T8E9DCMKhc&feature...
(Avec tous mes remerciements, anne)

Je considère que l'article 25 de la loi 73-7 est directement impulsé par le Cartel banquaire, dont fait partie (entre autres Warburg) le clan Rothschild. En effet, Pompidou, qui promulgua cet article avec son complice Giscard d'Estaing, fut directeur-général de la banque de ce clan. Cela ne s'invente pas ....)


LA FED EST UNE ESCROQUERIE


FED (Réserve fédérale américaine)

La Réserve fédérale américaine (Fed) est la Banque centrale des Etats-Unis. Elle est constituée de 12 banques régionales, les "Regional Reserve Banks":

Les voici, dans l'ordre d'importance du chiffre d'affaires réalisé par chacune de ces banques:
La Federal Reserve Bank deNew-York
La Federal Reserve Bank deSan Francisco (qui couvre les 7 états de l'Ouest + Hawaï et l'Alaska)
La Federal Reserve Bank deChicago
La Federal Reserve Bank deRichmond
La Federal Reserve Bank d'Atlanta
La Federal Reserve Bank deBoston
La Federal Reserve Bank deDallas
La Federal Reserve Bank deCleveland
La Federal Reserve Bank dePhiladelphie
La Federal Reserve Bank deKansas City
La Federal Reserve Bank deSaint-Louis
La Federal Reserve Bank deMinneapolis


La Fed définit la politique monétaire des Etats-Unis : elle fixe le taux de réserve obligatoire, le taux d'escompte, et elle dirige les opérations d'open market (interventions sur les marchés financiers pour influencer le niveau des taux d'intérêt).

Pourquoi un article sur la FED?

Parce que les décisions prises par la Fed en matière de taux d'intérêt, tout comme les avis sur la conjoncture économique américaine exprimés publiquement par son président, ont un effet d'annonce déterminant sur l'orientation des marchés financiers mondiaux.
Source: www.boursereflex.com/lexique/fed

Parce que son existence a supprimé le droit du gouvernement des USA d'emprunter à sa propre banque sans intérêt qui se retourne alors obligatoirement vers le privé pour des emprunts à taux d'intérêt pour le moins capricieux. (Ce qui cause le surendettement que nous connaissons actuellement). Autrement dit, comme pour la France, puis l'Europe, les gouvernements n'ont plus le droit de battre monnaie.


Ce document va jeter quelque lumière sur les causes, volontaires, de cette crise économique qui évolue aujourd’hui dans le sens d’un chaos de la société occidentale et de la fin du bail de la Réserve fédérale le 21 décembre 2012. (Ce bail correspond au «long term lease», analogue au «bail emphytéotique» du «Droit romain».)

Découvrons qui a créé la FED, comment et dans quel but :
(Réf. Edward Griffin: «La créature de l’île de Jekyll» et Extraits du livre de Dieguez)

En 1913 un groupe de banquiers internationaux se réunit d’urgence surl’île de Jekyll(Géorgie, Etats-Unis). Pour cette réunion secrète, tous les habitants de l’île avaient été évacués. Des gardes empêchèrent les non invités pour le temps que dura la Conférence. Par la suite on apprit que, à cette occasion, le Cartel Financier du monde occidental avait décidé l’institution du Federal Reserve Bank (l’actuelle Banque centrale américaine) qui devait enlever au gouvernement américain et au Congrès leur pouvoir sur l’émission de la monnaie et du crédit.


Les participants étaient:

- L'organisateur de la réunion, le sénateur Nelson Aldrich accompagné de son secrétaire privé, Shelton. Président de la National Monetary Commission(Commission Monétaire Nationale)créée en 1908.

Nelson Aldrich qui entretenait des relations commerciales étroites avec l'influent homme d'affaires et banquier, John Pierpont Morgan, beau-père de John D. Rockefeller et grand-père de Nelson Rockefeller, un ancien vice-président des États-Unis.

Celui-ci n'était pas physiquement présent, mais triplement représenté, il marqua la réunion de son empreinte.

Au Congrès, le Sénateur Aldrich passait pour être le porte-parole du banquier J.P.Morgan , lequel représentait également les intérêts des Rothschild d'Angleterre. Le sénateur Nelson Aldrich, chef de file républicain du Sénat (membre de la Commission monétaire nationale - ce comité spécial du Congrès, créé dans le but d’émettre des recommandations relatives à la réforme législative des opérations bancaires d’Amérique).

Même à cette époque, les Américains s’inquiétaient de laisser tout le pouvoir financier entre les mains d’un petit groupe de banques et de sociétés de placement new-yorkaises.

Ils l’appelaient la Fiducie monétaire (le Money Trust).

Les citoyens voulaient mettre un terme à l’empire de cette dernière. Toutefois, le sénateur entretenait une relation commerciale avec l’homme d’affaires J.P. Morgan. Ce dernier était le beau-père de John D. Rockefeller fils et devint par conséquent, le grand-père de Nelson Rockefeller, ancien vice-président des Etats-Unis.

- John Pierpont Morgan, à travers ses représentants directs, Henry Davison, associé principal de la John Pierpont Morgan Company, Charles Norton, président de la First National Bank de New York, dominée par J.P. Morgan Company, et Benjamin Strong, le directeur général de la J. P. Morgan's Bankers Trust Company, et connu pour être également un lieutenant de J.P. Morgan. Ils représentaient , également, les intérêts des Rothschild. Ce dernier, Benjamin Strong, était probablement l’homme le plus important en ces lieux grâce à ses connaissances bancaires européennes. Allemand de souche, il se fit naturaliser citoyen américain. En plus, il entretenait des liens étroits avec son frère Max, le directeur en chef du consortium bancaire Warburg en Allemagne et aux Pays-Bas.

- Etait également présent, Frank Vanderlip, le président de la National Bank de New York, la plus grande et la plus puissante banque d'Amérique. Il représentait les intérêts financiers de William Rockefeller et de la société d'investissement internationale Kuhn, Loeb and Company.

- Abraham Piat Andrews, le secrétaire-assistant du Trésor américain. Plus tard, il devint un membre du Congrès et fut, tout au long de sa carrière, un homme très influent au niveau des milieux bancaires.

Ces hommes représentaient à eux seuls en ce temps, directement et indirectement, approximativement un quart de la richesse planétaire globale.


Il semble qu'il y ait eu quelques autres "invités" dont les noms ne sont, pour l'instant , pas connus et peut-être ne le seront-ils jamais. Ainsi, lorsque George F. Baker, un des associés les plus proches de JP Morgan, mourut le 3 mai 1931, le New-York Times écrivit : "Le club de l'Ile Jekyll a perdu un de ses membres les plus distingués".

Mais le personnage le plus important parmi les participants était Paul Warburg. C'était l'un des hommes les plus riches du monde . Son expérience du fonctionnement des banques européennes, sa forte personnalité et ses compétences en firent le meneur , la tête pensante du groupe et le véritable initiateur de la création de la FED. Il révèlera d'ailleurs des capacités de manoeuvrier exceptionnelles en 1913, au moment du vote de la loi au Congrès. Il représentait sur place la dynastie bancaire des Rothschild d'Angleterre et de France.

Etaient donc représentés les intérêts croisés des plus grands groupes bancaires mondiaux : les Morgan, les Rothschild, les Warburget les Rockefeller.

Cette réunion était un point d'orgue: Elle fut le dernier et le plus décisif des coups de boutoir des financiers dans la guerre féroce , tant en Europe qu'en Amérique, entre le pouvoir politique et le pouvoir des banquiers, et notamment celui des Warburg et des Rothschild d'Angleterre. Cette guerre durait depuis la Déclaration d'indépendance des colonies anglaises. Elle se termina par une victoire de la finance internationale sur le pouvoir politique de l'Etat naissant et ouvrit la voie à une domination exponentielle des financiers sur le monde entier.

La bataille avait d'ailleurs commencé avant même la déclaration d'indépendance, en 1776, lorsque les banquiers de la City de Londres réussirent à faire voter par le gouvernement anglais une loi qui interdisait aux treize colonies d'Amérique de créer une monnaie locale , le "Colonial Script",et de n'utiliser, pour leurs échanges, que la monnaie or et argent des banquiers. Comme cette monnaie était obtenue moyennant un intérêt, elle devenait automatiquement une dette des colonies.


Mais ceci est une autre histoire et pour en revenir à notre sujet, à la suite des paniques bancaires de la fin du XIXe siècle et de la plus grave d'entre elles, celle de 1907, le Congrès décida qu'il fallait réformer tout le système bancaire et, avec la National Monetary Commission (Commission Monétaire Nationale), il créa deux sous-commissions, l'une chargée d'étudier en détails le système monétaire américain tel qu'il existait et la seconde, dont il confia la responsabilité au sénateur Aldrich, était chargée d'étudier le système bancaire "européen ", c'est-à-dire, évidemment dans son esprit, le système bancaire anglais.
Or, la banque d'Angleterre se trouvait - et se trouve toujours - entre les mains de banquiers privés et notamment de la pléthorique famille Rothschild . Il était donc aisé de deviner l'issue de "l'étude" du Sénateur Aldrich dont la fille avait épousé le premier héritier milliardaire, John D. Rockefeller Jr, connu pour être le porte-parole de J. Pierpont Morgan au Congrès et dont les liens avec tous les riches banquiers étaient de notoriété publique.

La réunion de l'Ile Jekyll fut donc décidée en grand secret et personne, hormis ses participants, n'en eut connaissance - ni la presse, ni le public, ni surtout le Congrès - avant l'adoption , le 23 décembre 1913 de la loi sur le fonctionnement de la Réserve fédérale, alors que la Commission monétaire avait prévu que les délibérations devaient se dérouler publiquement dans l'enceinte du Congrès.

Il fallut d'ailleurs trois grandes années au Cartel pour trouver le moment propice à faire adopter leur projet par le gouvernement et pour donner une caution politico-juridique au Cartel international de banques d'affaires privées qu'ils avaient imaginé durant le séjour de l'Ile Jekyll. La bataille fut rude. Il s'agissait bien d'un cartel puisque ces banquiers, rivaux les uns des autres en Allemagne, en France, en Angleterre, se mirent secrètement d'accord aux Etats-Unis afin de créer ensemble une nouvelle entité bancaire privée, elle aussi, dans laquelle ils collaboreraient étroitement et qui donnerait naissance au Système monétaire du Nouveau Monde.

Pourquoi sur l'île Jekyll?

Un petit groupe de millionnaires de New-York, dont J.P. Morgan, William Rockefeller et leurs associés, l'avait acheté en totalité pour passer les mois d'hiver.

Depuis, l’Etat de la Géorgie a acheté l’île.

On y trouve un pavillon où se trouve une pièce spéciale. Sur la plaque de laiton fixée à la porte de cette salle, on peut lire: “le système de la Réserve fédérale fut créé dans cette pièce”. Toutes ces informations sont disponibles dans les bibliothèques.

Après un voyage de deux nuits et une journée, pendant neuf jours, ils restèrent autour de la table du pavillon et éclaircirent tous les points importants de ce qui allait devenir le système de la Réserve fédérale. Lorsqu’ils eurent terminé, ils retournèrent à New York et nièrent une telle réunion pendant un certain nombre d’années.

Plus tard, Frank Vanderlip devait affirmer dans un article du Saturday Evening Postdu 9 février 1935: “Je ne crois pas exagérer en considérant notre expédition secrète sur l’île Jekyll comme une occasion en or de créer ce qui devint le système de la Réserve fédérale, et ce, même si le mot d’ordre voulait que l’on garde ce fait le plus secret possible. Nos noms réunis auraient pu à eux seuls donner une toute autre portée à notre expédition, tant à Washington, qu’à la Bourse de New-York ou même à Londres. Il ne fallait tout simplement pas que l’on nous découvre.”

Pourquoi?

Vanderlip donne une réponse à cette question dans le même article:

“Eventer le secret du rassemblement de notre groupe en particulier et de nos travaux, équivalait à anéantir toutes chances que le Congrès vote la Loi sur le comportement des banques.”

Pourquoi?

Parce que le but de cette loi consistait à mettre un terme à l’empire de la Fiducie monétaire et cette loi avait été écrite par les membres mêmes de la Fiducie monétaire:

Si le public avait eu connaissance de cette réunion, le système de la Réserve fédérale n’aurait jamais vu le jour.

Comme nous l'avons vu plus haut, pendant les quinze années qui ont précédé le rassemblement sur l’île Jekyll, les groupes financiers de toutes les industries s’étaient progressivement associés en joint-ventures au lieu de se concurrencer mutuellement. Ils s’étaient rendu compte que cela fonctionnait. Ils ont créé un Cartel bancaire et l’ont rendu légal, conformément à la loi. Ce Cartel s’est associé au gouvernement.

Qu’est-ce que le gouvernement gagne avec tout cela?

Examinons ensemble par quel mécanisme le gouvernement fédéral crée l’argent. Comment est-ce que l’argent voit le jour?
Le Congrès a besoin d’argent et en quantité beaucoup plus importante que ce qu’il perçoit en impôts. Les impôts représentent une fraction de ce que le Congrès requiert pour fonctionner.

Comment peut-il dépenser plus que ce qu’il touche en impôts?

Etudions son mode de fonctionnement… Supposons que le Congrès ait besoin d’un milliard de dollars pour payer les dépenses du jour. Puis, le Congrès passe par l’imprimerie non pas pour faire imprimer de l’argent, mais plutôt des certificats. De beaux billets où apparaissent, dans la partie supérieure, un aigle et la mention: Bon du Trésor des Etats-Unis (billet ou promesse, suivant la date d’échéance). En fait, ce sont des reconnaissances de dettes et le Congrès espère qu’elles inciteront les gens à emprunter au gouvernement en retour. Plusieurs personnes le font parce qu’elles ont entendu dire qu’il s’agit de l’un des meilleurs investissements à faire. Cela signifie que le gouvernement s’engage solennellement à vous rendre votre argent avec des intérêts, même s’il doit vous prendre tout ce que vous possédez en impôts pour y arriver.

Puis, les représentants du Congrès et du Trésor se rendent ensemble jusqu’à l’immeuble de la Réserve fédérale.

La Fed les attend.

Elle rédige immédiatement un chèque d’un milliard de dollars au Trésor des Etats-Unis. Qui a payé ce milliard de dollars?

La réponse:
Il n’existe pas. Il n’y a même pas de compte de chèques, seulement un livret. De l’argent instantané. Le gouvernement peut ainsi accéder instantanément au montant d’argent qu’il désire et au moment qu’il le souhaite, sans avoir besoin de demander l’approbation des contribuables sous forme d’impôt direct.

Le gouvernement fait partie de ce partenariat pour cette raison.

Toutefois, on peut se demander pourquoi le Cartel bancaire y participe également?.

Le Cartel bancaire est impliqué dans ce partenariat parce que le trésorier-payeur général prendra le chèque d’un milliard de dollars et le déposera dans le compte de chèque du gouvernement qui se trouve à la Réserve fédérale.

A ce moment, l’ordinateur indiquera que le compte du gouvernement contient un milliard de dollars instantanés. Cela signifie qu’à partir de cet instant, le gouvernement peut émettre des chèques gouvernementaux d’un montant égal. Prenez l’exemple d’un chèque de 100$ libellé au nom d’un employé des postes. Cette personne ne croirait pas que cet argent n’existait pas deux jours plus tôt.

D’ailleurs, elle ne s’en soucierait pas puisqu’elle peut le dépenser.

L’argent se trouve maintenant ailleurs qu’à la Fed ou qu’entre les mains des partenaires du gouvernement, c’est-à-dire du côté bancaire commercial.

Le banquier se dirige alors vers la fenêtre des prêts et annonce : ”Puis-je avoir votre attention s.v.p. ? Nous avons de l’argent à prêter. ” Maintenant, tout le monde est heureux et pourtant, chacun d’entre eux ressent de l’inquiétude face au maigre montant de 100$. Alors, le banquier les rassure en disant de ne pas s’inquiéter parce qu’il peut leur prêter 900$.

Comment est-ce possible?

Comment est-ce que les banques peuvent prêter un montant de 900$ alors que la somme déposée n’était que de 100$?

Voici la réponse.

Le système de la Réserve fédérale exige des banques qu’elles gardent en réserve au moins 10% des dépôts effectués. Elles doivent conserver $10 par tranche de 100$ et prêter la différence, soit 90$. Puis, dès qu’un citoyen emprunte ce 90$ et le dépose dans son compte de chèques, le même cercle vicieux recommence et ainsi de suite.

D’où venait tout cet argent?

La réponse est la même : l’argent n’existait pas. Il est apparu au moment précis où quelqu’un fit l’emprunt. L’argent créé à partir de rien et remis au gouvernement, a été dépensé par ce dernier pour réaliser ses projets. D’autre part, les banques n’ont pas dépensé l’argent créé à partir de rien pour elles, elles nous l’ont plutôt prêté afin que nous réalisions nos projets. Toutefois, elles perçoivent de l’intérêt sur les prêts! C’est la raison pour laquelle le CARTEL bancaire est partenaire dans cette affaire. Tout cela est légal. On charge de l’intérêt sur rien.

Cependant, le processus ne s’arrête pas là.

Quelles en sont les conséquences?

L'inflation, qui est une arnaque:

Cet argent créé à partir de rien se retrouve dans le système économique et ces nouveaux dollars diminuent la valeur de ceux qui y circulent déjà. On peut comparer ce phénomène au principe de délaiement de la soupe. Lorsqu’une soupe est trop épaisse, on y ajoute de l’eau pour la diluer. Les prix commencent alors à augmenter et l’inflation s’abat sur l’économie. En fait, contre toute apparence, on a l’impression que les prix augmentent. Et le mot apparence est juste. En théorie, les prix n’augmentent pas. En réalité, la valeur des dollars diminue. Si l’argent des Américains valait le prix de l’or, de l’argent ou d’un tout autre effet de commerce tangible et qu’il n’ait pas été créé à partir de rien, les prix resteraient fixes.

Depuis la création de la Réserve fédérale, nous vivons dans un cycle économique en dents de scie. Si vous ne pouvez effectuer vos paiements, les banques vous prennent tout. Ceux qui profitent de votre perte et qui achètent le pouvoir sont le gouvernement et les Cartels Bancaires.

Pour résumer la situation, voici la vérité au sujet de l’argent:

Soulignons et comprenons d’abord l’importance de certaines réalités fondamentales de notre système bancaire et monétaire.

Tout l’argent que les banques émettent et font circuler est produit sous forme de prêt. Cet argent comporte donc un coût, c’est-à-dire de l’intérêt. Lorsque les gouvernements permettent aux banques d’émettre la masse monétaire d’un pays, ils doivent percevoir des taxes afin que les banques puissent récolter de l’intérêt sur l’argent qu’elles ont créé. Cela dévalorise automatiquement les citoyens puisque les banques ne créent jamais d’argent pour payer l’intérêt imposé par l’utilisation de leur argent, mais seulement le principal. En conséquence,pour acquitter l’intérêt, on puise inévitablement dans l’actif du pays et des citoyens par des mécanismes tels que la création de dettes, les faillites et les forclusions. On prélève, de surcroît, des taxes à la source pour accélérer les processus. Une société qui admet et qui accepte que l’on utilise l’argent des banques plutôt que sa propre devise créée librement par elle expose inéluctablement ses citoyens au cycle économique des dépressions et au désarroi de la population.

Ce modèle de partenariat fut conçu en Europe, au 16e siècle.

On l’expérimenta et le perfectionna éventuellement avec la formation de la Banque d’Angleterre en 1694.

A ce sujet, Nathan Rothschild, (1777-1836) avait déclaré : «Je ne m'inquiète pas de ces marionnettes placées sur le trône d'Angleterre à la tête de l'Empire sur lequel le soleil ne se couche jamais. L'homme qui contrôle la masse monétaire de Grande-Bretagne contrôle l'Empire britannique et je contrôle la masse monétaire britannique.»

A partir de cette date, tous les gouvernements européens ont utilisé ce mode de fonctionnement. Bien entendu, ils ne l’ont pas appelé le mécanisme de Mandragore, mais plutôt la Banque centrale. Amener ce mode de procédé en Amérique exigeait qu’on le nomme différemment. Alors, après un long débat, ses créateurs, qui commencèrent par lui trouver le nom “Fédérale”, parce que cela évoquait une opération gouvernementale, optèrent ensuite pour le mot “Réserve” afin que l’on croie à l’existence de réserves en un certain endroit. Enfin, ils ajoutèrent le mot “Système” parce qu’il semblait beaucoup plus important qu’il en a l’air aujourd’hui.

Pour reprendre le sujet de l'inflation, Alan Greenspan, président de la Réserve fédérale affirma que cette nouvelle «structure» existe pour aider les gens, pour stabiliser l’économie, afin que le peuple américain n’ait pas à subir une inflation démesurée...

...et, depuis sa création, la Réserve fédérale a présidé les Krachs de 1921 et 1929, la Grande dépression de 1929-1939, les récessions des années 53, 57, 69, 75 et 81 et le lundi noir de 1987, où 22% des valeurs totales de la Bourse chutèrent en une journée....

(Tout comme, l’article 25 de la loi 73-7 dans la France de 1973, puis l'article 104, suivi de l'Article 123 en Europequi sont censés éviter l'inflation, alors que la crise financière interntionale actuelle - qui engendre une inflation croissante – trouve précisément sa source principale dans l'existence de la FED pour les USA et des articles de loi concernant l'Europe.

LaFed n’a donc pas atteint ses objectifs.

Pourquoi?

Parce que ces derniers n’ont jamais été ses buts réels.

Quels sont les véritables objectifs de la Fed?

Quels buts réels un CARTEL quelconque peut-il viser?
Les banquiers de l’île Jekyll voulaient atteindre trois objectifs:

1- Mettre un terme à l’éparpillement de leur pouvoir pour le concentrer à New-York.

Ont-ils réussi à garder le contrôle en ce qui a trait aux grandes banques new-yorkaises?
Oui.

2- Renverser la tendance de ce qu’ils appelaient la formation du capital privé. Ils ne voulaient pas que les individus dépensent leur propre argent. Ils désiraient que tout le monde aille à la Banque pour se procurer de l’argent. En début de siècle, la formation de capital privé tendait à s’établir et plus particulièrement en affaires. Les entreprises investissaient certains de leurs profits dans un fonds. Ce capital prenait de la valeur, puis les dirigeants de ces entreprises utilisaient leur propre argent pour construire des usines, organiser la recherche et le développement ou pour faire quoi que ce soit d’autre. Les banques n’appréciaient pas cette tendance. Elles voulaient inciter les entreprises à recommencer à emprunter leur argent.

A-t-elle réussi à renverser la tendance à former du capital privé?
Oui. La réduction des taux d’intérêt durant certaines périodes allécha les individus et les entreprises à un point tel qu’il eût été fou de ne pas en tirer profit. Pourquoi économiser votre argent? C’est stupide! Alors, ces derniers se ruèrent dans les banques et empruntèrent considérablement. Puis, l’économie vacilla. Par conséquent, ils ne purent rembourser leurs dettes et durent déclarer faillite. Une fois encore, la Réserve fédérale obtient un “A” grâce à sa devise souple. Elle est parvenue à renverser la tendance de la capitalisation privée.

3- Transférer les pertes inévitables des banques aux contribuables au nom de la protection des gens. Ceux-ci sont les véritables objectifs de la Réserve fédérale.

Quel fut le bilan de cette «opération»?

Transférer les pertes inévitables des banques aux contribuables au nom de la protection des gens. Des entreprises majeures telles la Penn Central Railroad and Lockheed Corporationen 1970, la Commonwealth Bank of Detroit en 1972, la ville de New York en 1975, la Chrysler Corporation 1978, la First Pennsylvania Banken 1980, la Continental Illinois, la plus importante banque à ce jour, en 1982 et de nombreux pays, qui n’arrivaient pas à effectuer les paiements auparavant, les font maintenant grâce à l’argent prêté par le Fonds monétaire international et la World Bank. Ces derniers ont obtenu cet argent de la Réserve fédérale qui l’a, elle, obtenu de vous et moi à travers le mécanisme de Mandragore.

L'usure:

Qu’est-ce que l’usure?

Un intérêt de taux excessif.
Autrefois , on définissait l’usure comme un intérêt sur un prêt. Aujourd’hui, cela signifie intérêt excessif sur un prêt. Thomas Edison disait que les gens qui ne contribuaient en rien à un projet, en récoltaient plus d’argent que ceux qui y investissaient tout le travail et les matériaux. Je me suis imaginé que sur le prix d’une maison de 100.000$, 30.000$ serviraient à payer les frais de l’architecte, le terrain, les permis, etc. Le reste de l’argent, soit 70.000$, permettrait de payer les matériaux de construction et les travailleurs. J’ai supposé que l’acheteur irait à la banque pour déposer 20% du montant total et faire un emprunt sur 30 ans à un taux d’intérêt de 10%. En calculant tout cela, vous arriverez à la même conclusion que moi : l’acheteur payera plus de 172.741$ en intérêt à la banque, comparativement aux 70.000$ versés aux travailleurs. En d’autres termes, la banque gagnera 2,5 fois plus que les autres.

Cet argent fut créé à partir de rien.

Charger 172.741$ d’intérêt sur rien est excessif.

Il est temps de donner une nouvelle définition au mot usure:

Tout intérêt chargé sur tout prêt d’argent créé à partir de rien.

Cet exemple de maison de 100.000$ ne représente qu’un infime petit grain de sable dans le désert du Sahara. Vous devez multiplier ce procédé par toutes les maisons, tous les hôtels et les gratte-ciel, tous les avions à réaction, les automobiles, les usines, tous les entrepôts et sur toutes les fermes et leurs équipements de l’Amérique pour obtenir le montant récolté par les banques. On parle ici d’une rivière de richesses non gagnées et flottant continuellement à l’intérieur du CARTEL bancaire qui est tellement éparpillé qu’il nous est impossible à imaginer.

La somme totale dépasse tout entendement.

Cet argent devrait revenir à ceux qui travaillent pour le produire et non à ceux qui ont monté un extraordinaire racket.

Où va cet argent?

Les membres du CARTEL bancaire utilisent cette rivière de richesses pour se procurer le pouvoir à nos dépens.

Ils achètent le monde avec cet argent.

Ils contrôlent les sociétés et les institutions qui offrent leurs directions et leurs orientations à des gens qui dépendent, vivent et agissent en fonction de ces dernières.

Sur le plan technique et en termes sociologiques, on les appelle des centres de pouvoirs.

Ils achètent l’influence et le contrôle de leurs dirigeants.

Ce qui signifie qu’ils achètent politiciens, partis politiques, réseaux de télévision, réseaux câblés, journaux, magazines, agences de publicité, agences de presse, studios cinématographiques, universités, syndicats de travailleurs, organismes religieux, associations commerciales, institutions à but non lucratif, sociétés multinationales, mouvements de scoutisme pour garçons et filles, et ainsi de suite.

N’importe quel groupe qui exerce une influence constitue une cible parfaite pour accroître ce contrôle. Et plus précisément, ceux qui s’opposent à eux. Ce phénomène existe dans la plupart des pays industrialisés. Il est absolu dans plusieurs pays en voie de développement. Ils ont acheté ces pays.»

Pour plus amples informations (dont le fait que l'impôt sur le revenu est aussi une arnaque créée par le système de la FED, vous pouvez consulter ce lien : http://thoretjormungand.e-monsite.com/pages/2-la-f...

Cette video est explicative également : http://nemesistv.info/video/UBX8G8X8H1G1/america-f...

Le Bail de la FED devais se terminer le 21 décembre 2012, je suis donc en train de chercher des informations concernant les conséquences de cette échéance.

Ceci n'étant qu'une introduction aux problèmes européens conséquents, voici le lien de mon autre blog/article concernant l'arnaque de la Dette européenne qui en résulte :
https://www.thechangebook.org/blog/587/la-dette-eu...
Pièces jointes
géronimo
Sans doute le + grand hold-up de tout les temps !
Galdar
Il se passe exactement la même chose au Canada :
http://www.youtube.com/watch?v=Wkv9ZYfk7fs&list=FL...
Galdar
La Réserve fédérale américaine a annoncé mardi 6 février 2013 que l'un de ses réseaux intranet avait été brièvement piraté, sans entraîner pour autant de dommages sur les fonctions clé de son système.

C'est un des réseaux les plus sensibles au monde. La Réserve fédérale américaine a pourtant annoncé ...
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