par Myiette
« Nationalité fr. obligatoire, pas de noir » Société en décrépitude, État d...
Rares sont les politiques qui n'ont pas encore proféré leur petite bassesse xénophobe. Le chantier éducatif contre l’ignorance, favorisant l’ouverture, a semble-t’il été abandonné il y a bon nombre d’années par les pouvoirs publics. La droite de 2007, en décomplexant ses instincts primaires et ceux du secteur privé qu’elle servait, a ouvert les vannes des égouts. L’héritage colonial des institutions n’a jamais été liquidé ni avant ni après, et ses dérives inhumaines dans le cadre d’un service public au prestige fané ne sont plus jamais redressées par les autorités. Tout juste si on ne récompense pas aujourd’hui ce qu’on ne peut même plus appeler des bavures, à la simple lecture des innombrables témoignages rapportés par les victimes, mouvements, associations, et Street médics, ces derniers mois voir ces dernières années. Il faut dire que dans son ensemble, le service public est dans un état de délabrement et de démantèlement proche l’implosion, avec un personnel en grande souffrance. L’urgence toujours plus pressante de répondre aux exigences des marchés, mécanismes implacables d’un système aux abois, les a saigné comme l’humain qu’ils promettaient pourtant de traiter de plus en plus sereinement.
Dans un tel contexte, il reste vital bien sûr de ne pas banaliser l’insupportable facilité avec laquelle au moins deux employés on trouvé acceptable de mentionner et de trouver mentionnée la discrimination comme critère d’attribution d’un appartement.
Mais plutôt qu’une indignation facile et sans lendemain, ce serait pas mal, cette fois-ci, que chacun s’y colle sérieusement.
Et exige des politiques et autres zélées zélites d’assurer au minimum leur mission de service public pédagogique de base. D’autant plus qu’il y a un maintenant un sacré retard à rattraper...
#Laforêt
Rares sont les politiques qui n'ont pas encore proféré leur petite bassesse xénophobe. Le chantier éducatif contre l’ignorance, favorisant l’ouverture, a semble-t’il été abandonné il y a bon nombre d’années par les pouvoirs publics. La droite de 2007, en décomplexant ses instincts primaires et ceux du secteur privé qu’elle servait, a ouvert les vannes des égouts. L’héritage colonial des institutions n’a jamais été liquidé ni avant ni après, et ses dérives inhumaines dans le cadre d’un service public au prestige fané ne sont plus jamais redressées par les autorités. Tout juste si on ne récompense pas aujourd’hui ce qu’on ne peut même plus appeler des bavures, à la simple lecture des innombrables témoignages rapportés par les victimes, mouvements, associations, et Street médics, ces derniers mois voir ces dernières années. Il faut dire que dans son ensemble, le service public est dans un état de délabrement et de démantèlement proche l’implosion, avec un personnel en grande souffrance. L’urgence toujours plus pressante de répondre aux exigences des marchés, mécanismes implacables d’un système aux abois, les a saigné comme l’humain qu’ils promettaient pourtant de traiter de plus en plus sereinement.
Dans un tel contexte, il reste vital bien sûr de ne pas banaliser l’insupportable facilité avec laquelle au moins deux employés on trouvé acceptable de mentionner et de trouver mentionnée la discrimination comme critère d’attribution d’un appartement.
Mais plutôt qu’une indignation facile et sans lendemain, ce serait pas mal, cette fois-ci, que chacun s’y colle sérieusement.
Et exige des politiques et autres zélées zélites d’assurer au minimum leur mission de service public pédagogique de base. D’autant plus qu’il y a un maintenant un sacré retard à rattraper...
#Laforêt
TT : L’annonce #laforet #xénophobe fait scandale qd tt le contexte qui l'engendre aurait dû #mobiliser pour que ça cesse
