- Premier document de référence : https://www.thechangebook.org/blog/689/la-fed-r%C3... (Cet article n'existe que pour évoquer la source de l’article 25 de la loi 73-7, remplacé par L’Article 104 du Traité de Maastricht, remplacé à son tour par l'Article 123 du Traité de Lisbonne, dont une des cont...
- Premier document de référence : https://www.thechangebook.org/blog/689/la-fed-r%C3... (Cet article n'existe que pour évoquer la source de l’article 25 de la loi 73-7, remplacé par L’Article 104 du Traité de Maastricht, remplacé à son tour par l'Article 123 du Traité de Lisbonne, dont une des continuités d'application aura lieu le premier janvier 2013: Le nouveau Traité européen (TSCG) http://www.youtube.com/watch?v=6T8E9DCMKhc&feature...
Je considère que l'article 25 de la loi 73-7 est directement impulsé par le Cartel banquaire, dont fait partie (entre autres Warburg) le clan Rothschild. En effet, Pompidou, qui promulgua cet article avec son complice Giscard d'Estaing, fut directeur-général de la banque de ce clan. Cela ne s'invente pas ....)
Pour résumer le deuxième, cette Dette est due à l'Article 123 du Traité de Lisbonne, issu de l’Article 104 du Traité de Maastricht, lequel est le format rendu européen de l’Article 25 de la Loi 73-7.
Cette légifération, (qui prive les Etats d'emprunter à leur propre banque sans intérêt, pour les contraindre à emprunter aux banques privées, avec intérêts) fut promulguée sur l’allégation d'éviter le phénomène d'inflation.
L'inflation, qui est une arnaque:
Citation du premier volet:
«Cet argent créé à partir de rien se retrouve dans le système économique et ces nouveaux dollars diminuent la valeur de ceux qui y circulent déjà. On peut comparer ce phénomène au principe de délaiement de la soupe. Lorsqu’une soupe est trop épaisse, on y ajoute de l’eau pour la diluer. Les prix commencent alors à augmenter et l’inflation s’abat sur l’économie. En fait, contre toute apparence, on a l’impression que les prix augmentent. Et le mot apparence est juste. En théorie, les prix n’augmentent pas. En réalité, la valeur des dollars diminue. Si l’argent des Américains valait le prix de l’or, de l’argent ou d’un tout autre effet de commerce tangible et qu’il n’ait pas été créé à partir de rien, les prix resteraient fixes.»
Il y a une solution pour se libérer de ce joug/Dette:
Faire pression auprès des divers organismes gouvernementaux et bancaires au moyen de ce que l'on nomme le «Déni de service»qu'avaient utilisé les Anonymous pour bloquer, pendant une journée le site officiel du FBI en vue de protester contre l'élimination du site Megaupload.
Les points d'attaque ? les sites gouvernementaux officiels, bancaires, dont celui de Bruxelles; la BCE, etc
En premier lieu, après avoir établi une stratégie correcte, surtout en tant que cible, bloquer le site en question pendant trois jours avec revendication à l'appui, c'est à dire l'abrogation immédiate de l'Article 123 du Traité de Lisbonne.
Ensuite, si aucune satisfaction n'est obtenue, bloquer à nouveau pendant une semaine, toujours avec la même revendication.
Et ainsi de suite. Jusqu'à obtention du résultat demandé.
(En ceci, il est évident que «l'armée des Anonymous» est nécessaire, aussi fais-je appel à eux, ici, en premier lieu)
Dans la perspective que l'on obtienne gain de cause, on peut continuer la lutte, par exemple, en exigeant le rétablissement de "l'étalon or" à la place de la "valeur papier", moins stable et donc sujette aux "manipulations de l'inflation", comme cité plus haut. Ensuite, exiger un changement progressif du paradigme capitaliste/croissance en un système décroissant.
Je pense que, avec une stratégie adéquate, il est possible de parvenir à nous libérer du joug financier en vue d'établir une société plus humaniste, progressivement, de par ce biais informatique. Sans violence, ni sang versé, mais avec détermination.
Avant de contacter les Anon, j'en appelle aux anonymous présents sur TCB pour entrer dans ce combat
Il est évident que cette proposition demande à être soigneusement étudiée tant en termes de stratégie que de programme.
Un petit exemple d'action :
La Réserve fédérale américaine a reconnu mardi avoir subi une attaque de pirates informatiques après qu'Anonymous ait revendiqué le vol de 4000 données de banquiers dimanche. La Réserve fédérale américaine, banque centrale, a reconnu que des informations lui ont été volées via la faille d'un réseau intranet, réparée depuis lors.
La Fed n'a pas voulu préciser quel site avait été piraté, mais selon le rapport transmis aux banquiers, et consulté par Reuters, il s'agirait d'un site interne, banque de données à utiliser par les banques en cas de catastrophe naturelle. http://www.rtbf.be/info/medias/detail_la-reserve-f...
J'ai relevé ceci, ce matin :
Thierry Bonneau, professeur à l'Université Paris 2 et spécialiste de droit bancaire, droit des marchés financier ainsi que du droit de la régulation bancaire et financière européenne et internationale dit :
"Des réformes ont été mises en œuvre et d’autres sont en cours. Cela est vrai tant au niveau international qu’au niveau européen. Un énorme travail a été accompli. La supervision européenne a ainsi été renforcée avec la mise en place des autorités européennes de surveillance et les instruments dérivés sont au cœur du règlement EMIR du 4 juillet 2012. De même, les ventes à découvert ont été régulées avec le règlement du 14 mars 2012 et des règles ont été imposées aux agences de notation. Nombre de ces règlements font écho aux travaux de l’OICV, du Joint Forum et du FBF qui ont notamment concerné la titrisation, les conglomérats financiers et les marchés dérivés.
Toutefois, l’efficacité d’une réglementation dépend de sa mise en œuvre qui doit être coordonnée. De ce point de vue, la coopération européenne et internationale est tout à fait essentielle. C’est seulement si celle-ci est forte que les règles seront effectivement respectées et que l’on pourra ainsi contrôler le monde la finance qui n’est pas incontrôlable. Il est tout au contraire contrôlable même si, dans un univers globalisé, ce contrôle peut paraître difficile à réaliser.
Et Paul Jorion, Docteur en Sciences sociales et enseignant. Il a aussi été trader et spécialiste de la formation des prix dans le milieu bancaire américain, dit :
Ce n’est pas une question de vitesse : il n’y a aucune nécessité logique à ce que le monde de la finance découvre toujours une manière de tourner la loi à laquelle le législateur n’aurait lui jamais pensé. Si les banquiers découvrent des failles dans les nouvelles législations, les législateurs auraient pu tout aussi bien les trouver eux-mêmes. À moins que l’on ne pose en postulat que le quotient intellectuel des banquiers est significativement supérieur à celui des législateurs. L’hypothèse mériterait dans ce cas d’être testée empiriquement. L’hypothèse alternative est que les législateurs introduisent les failles (« loopholes » dans leurs textes délibérément.
Non, les États ne sont pas condamnés à toujours avoir un train de retard : au lieu de rédiger des textes de loi sous forme d’arguties comme ils en ont pris l’habitude, ils pourraient légiférer bien plus efficacement au niveau des principes généraux. Par exemple : « la spéculation est interdite » – point, barre. C’est d’ailleurs sous une formulation élémentaire de ce type que la spéculation est restée interdite jusqu’à 1885 : une demi-douzaine d’articles de loi suffisaient amplement à la tâche !
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(Cet article n'existe que pour évoquer la source de l’article 25 de la loi 73-7, remplacé par L’Article 104 du Traité de Maastricht, remplacé à son tour par l'Article 123 du Traité de Lisbonne, dont une des cont...