Et le plus criminel dans ce traité, c'est l'Article 123 (qui prolonge l'Article 107 du traite précédent, celui de Maastrict, européanisation de la "loi Rothschild" du 3 janvier 1973.
Voici les termes de cet Article 123 :
"L’article 123 du Traité de Lisbonne stipule que : « 1. Il est interdit à la Ban...
Et le plus criminel dans ce traité, c'est l'Article 123 (qui prolonge l'Article 107 du traite précédent, celui de Maastrict, européanisation de la "loi Rothschild" du 3 janvier 1973.
Voici les termes de cet Article 123 :
"L’article 123 du Traité de Lisbonne stipule que : « 1. Il est interdit à la Banque centrale européenne et aux banques centrales des États membres, ci-après dénommées « banques centrales nationales », d’accorder des découverts ou tout autre type de crédit aux institutions, organes ou organismes de l’Union, aux administrations centrales, aux autorités régionales ou locales, aux autres autorités publiques, aux autres organismes ou entreprises publics des États membres ; l’acquisition directe, auprès d’eux, par la Banque centrale européenne ou les banques centrales nationales des instruments de leur dette est également interdite »
En clair les états signataires s’interdisent de se financer directement à taux zéro auprès de leur banque centrale ou de la BCE. Ils sont obligés de s’adresser aux banques privées qui leur proposent les taux qu’elles décident tout en se finançant actuellement elles mêmes à un taux quasi nul auprès de la BCE.
Cette situation est identique pour tous les pays du monde occidental et dure en France depuis 1973. Il s’agit d’un véritable coup d’état.
Un coup d’état financier et politique en 4 actes
1ier acte : La France privatise la création monétaire En 1973, le ministre des finances Valery Giscard D’Estaing (sous la Présidence de Pompidou, ancien directeur général de la banque Rothschild) modifie les statuts de la Banque de France à travers la loi 73-7 pour lui interdire de faire des avance ou des prêts à l’Etat.
2ième acte : On Européanise cette règle En 1992, l’article 104 du traité de Maastricht interdit à la BCE et aux Banques Centrales Nationales de consentir des avances ou des prêts aux États ou aux Collectivités Publiques. Cette loi s’étend donc à toute l’Europe.
3ième acte : La règle passe dans la proposition de constitution Européenne L’article 123 du traité de Lisbonne reprend mot pour mot le libellé de l’article 104 de traité de Maastricht.
4ième acte : Sarkozy bafoue 200 ans de démocratie Française Le traité de Lisbonne a été adopté en France par Mr Sarkozy le 04 février 2008 alors que le référendum sur la constitution européenne avait été rejeté en 2005 par 53% des Français."
Souvenirs souvenirs...
Voici les termes de cet Article 123 :
"L’article 123 du Traité de Lisbonne stipule que : « 1. Il est interdit à la Ban...