Comme cet exposé brillant de Mr Guillemin trouve d'échos aujourd'hui. Comme le questionnement de Rousseau qu'il nous restitue avec humilité est une questionnement actuel !
30 minutes de votre précieux ...Comme cet exposé brillant de Mr Guillemin trouve d'échos aujourd'hui. Comme le questionnement de Rousseau qu'il nous restitue avec humilité est une questionnement actuel !
30 minutes de votre précieux temps m'sieurs dames, seulement 30.
Je l'ai regardé en faisant mon repassage, je ne l'ai pas vu passer, mon repassage !
En appel - Rousseau (1)
Première partie consacrée à la pensée politique du citoyen genevois.
La lettre du Pavé, ou le Pavé à la lettre, comme vous voulez, je la reçois, je vous en fait profiter. Des nouvelles importantes, la création du réseau Grenaille et de "La revue du Pavé" dont le N° 1 s...La lettre du Pavé, ou le Pavé à la lettre, comme vous voulez, je la reçois, je vous en fait profiter. Des nouvelles importantes, la création du réseau Grenaille et de "La revue du Pavé" dont le N° 1 sort incessamment sous peu.
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Salut à vous,
Dans cette lettre, vous trouverez de la mauvaise herbe, des gredins et des canailles, des devoirs à faire à la maison, un fond de sauce pour lier tout ça et même un niveau 2 pour inventer ensemble la suite de nos aventures.
1- De la mauvaise herbe
C'est le thème graphique du programme 2013 des formations du Pavé. Il est aussi disponible en calendrier géant imprimé mais il faut nous croiser pour le récupérer. L'idée, c'est toujours de faire pousser de la mauvaise herbe chez nous et de venir en faire pousser chez vous.
Pour les plants partis de travers, il y a des "niveau 2". Pour les jeunes pousses, un perfectionnement BAFA. Et plusieurs autres nouvelles graines plantées.
C'est pas la saison ? Et pourtant, c'est l'automne, le temps des vendanges, des feuilles mortes... et des plans de formation. Comment ça, vous ne savez pas ? Pour la plupart des salariés (ceux qui ont un plan de formation), les demandes de formation pour l'année 2013 se déposent auprès de son employeur en octobre 2012. Ah ben tiens, on est début octobre 2012.
2- Un niveau 2
A chaque fois qu'on se demande (au Pavé si on sert à quelque chose, la même idée revient : recroiser les personnes qui ont déjà suivies une de nos formations, inventer ensemble des manières de modifier les pratiques professionnelles et bénévoles dans vos structures. Alors on propose de se retrouver sur une semaine en novembre.
3- Un fond de sauces
Du 19 au 24 février, ça va gesticuler sur Rennes. On vous présente sur l'ensemble des soirées une dizaine de nouvelles conférences gesticulées. Et puis deux stages en parallèle : notre stage "de base" (susciter la participation) et un nouveau stage "repenser les rapports sociaux". Et on vous propose de nous rejoindre le week-end en journée pour réfléchir avec nous sur notre coopérative : à quoi sert-elle ? Que vous a-t-elle apportée ? A-t-elle fait naître des désirs chez vous ? Chez nous aussi. Et ça fait longtemps qu'on attend un moment pour en parler ensemble.
4- Des devoirs à faire à la maison
A toutes celles et tous ceux qui se sentent concernés d'une manière ou d'une autre par notre aventure coopérative, nous vous invitons à nous dire, par lettre calligraphiée, par SMS, par signaux de fumée ce que le Pavé vous a apporté ou pas, ce que vous attendez du Pavé et ce que vous n'en attendez plus, ce qu'il a provoqué et ce qu'il aurait dû ou pu provoquer.
On ne veut pas faire un livre d'or. Après 6 ans d'existence, on a envie de prendre un virage avec vous, de modifier nos pratiques, bref, de s'appliquer à nous avec votre aide ce qui s'applique d'habitude à vous avec notre aide.
On compte beaucoup sur vous et vous avez jusqu'à janvier pour nous envoyer une contribution. Elles seront toutes lues attentivement et reversée au week-end de conclusion du Pavé à toutes les sauces (les 23 et 24 février 2013).
5- Des gredins et des canailles
Ce sont, après réflexion, les deux termes qui caractérisent le mieux les gesticulants et les coopérateurs des quatre coopératives d'éducation populaire. Mais on arrivait pas à choisir entre gredins et canailles.
En bons spécialistes de la décision collective, on a fait moitié-moitié. Ce réseau s'appelle La Grenaille. Comme les petites patates qui ne font sens qu'ensemble, comme les munitions des pauvres faites en éclats de métal.
Les noms auxquels vous avez échappé ? Il y avait, en finale, L'Assaut et La Brèche. Et merci à vous tous qui nous avez faits des propositions.
Bientôt il y aura un site et l'an prochain, un programme de formation commun. Et dès début 2013, un salarié à disposition des gesticulants volontaires pour que se répandent leurs contre-vérités.
6- Faire mouvement
Alors on continue à faire mouvement autour de notre désir d'une éducation populaire politique, les conférences gesticulées se diffusent, les stages se multiplient, la revue débarque (dans moins d'un mois, elle sera disponible). Revue sobrement intitulée "les cahiers du Pavé". Pour le No 1, le thème, c'est "Le projet". Le No 2 (qui sortira au printemps) aura pour thème "La participation".
Et pour continuer à faire mouvement, on vous propose de transférer ce mail à toutes les personnes susceptibles de partir en formation chez nous ou de nous accueillir chez eux. Sans votre bouche-à-oreille, on aurait jamais tenu 6 ans. Mais l'idée, on est bien d'accord, c'est de faire bien plus que "tenir".
Bien à vous,
L'équipe du Pavé.
De l’utilité des conférences gesticulées …
Par Pauline Christophe
Ce week-end, j’étais à Rennes pour aller voir la “fournée 2011″ des conférenciers gesticulants formés par Le Pavé sur 4 sessions de 3 jo...De l’utilité des conférences gesticulées …
Par Pauline Christophe
Ce week-end, j’étais à Rennes pour aller voir la “fournée 2011″ des conférenciers gesticulants formés par Le Pavé sur 4 sessions de 3 jours étalées sur l’année 2011… (ou à peu près… Arrêtez-moi si je me trompe)… 10 conférences en deux jours, 4 vendredi et 6 samedi. J’en reviens toute… chamboulée ? émue ? Reboostée ?
Quelque chose est en train de naître… Un nouveau concept… Une nouvelle forme de lutte… Et si nous en doutions encore, la conférence gesticulée n’est pas un spectacle, non. Loin de là.
Entendons-nous bien : je ne vais pas faire la critique du théâtre, que d’autre part je pratique, que j’adore et que je défends, je veux juste essayer de montrer que la conférence, au contraire de ce que l’on peut croire, au contraire de ce que souvent on me dit à l’issue de la mienne, n’est pas un spectacle comme on l’entend de manière générale. Et donc qu’elle ne nécessite pas d’être comédien pour la pratiquer.
J’en suis maintenant plus que convaincue. Par opposition au “spectacle” traditionnel, plutôt écrit et abouti, obéissant à un “parti-pris” de “mise-en-scène”, etc, pour moi la conférence est sans cesse en mouvement, et c’est en cela que je la vois plus “ouverte” et libre qu’un spectacle (j’entends d’ici grincer des dents !). Elle est “éducation populaire spectaculaire”. Na.
En mouvement pour celui qui la fait : très rarement le texte est écrit, ce qui en fait un objet modulable et re-modulable à l’envi (ce qui est mon cas !), en fonction de soi, de ce sur quoi on veut appuyer, mais aussi des spectateurs, de l’ambiance… et surtout de l’urgence à dire ! Ce qui implique, évidemment, qu’on n’a jamais deux fois de suite la même conférence, même jouée par la même personne, même sur le même thème. La conférence vit en même temps que son conférencier. Et “en mouvement” aussi pour le spectateur : en tant que spectateur de la conférence, j’assiste (au pire) à… une tranche de vie. Au “pire”, c’est-à-dire quand on n’a pas encore assez le politique et/ou le théorique. Au “pire”, et c’est déjà un énorme début.
Alors attention : On n’est pas sur france 2, on n’est pas dans une émission (de m… qui pousserait le “parlant” à nous faire pleurer, à nous choquer, à nous raconter les pires moments de sa vie pour le sensationnel… Non, on est à l’intérieur d’un cerveau qui réfléchit, qui SE réfléchit humblement alors même qu’il est sur scène face à des gens…
Alors qu’une pièce de théâtre a posé le cadre dès les 30 premières secondes, la conférence est susceptible de changer de cap à tous moments. Le conférencier va avouer un “trou”, peut reconnaître sa fatigue, se râcler la gorge, tousser, marquer une pause, avoir une crise de fou rire, ou se laisser gagner par l’émotion… Et nous, spectateurs, on vit avec lui. La conférence est en vie, car poussée par l’envie. C’est incroyable comme le conférencier, qui a choisi de faire une conférence alors même qu’il n’est pas comédien (sur les 10 conférences, seulement 2 étaient jouées par des comédiens ou me trompé-je ?), est mu par une force. Il y a urgence à jouer, urgence à dire : “J’en peux plus, il FAUT que je vous dise”.
Donc, je commençais par “au pire, c’est une tranche de vie”. Mais cette tranche de vie là, on la partage à 1000% parce qu’on suit cette personne, sa fragilité, ses questionnements, ses colères, sa rage, son engagement, parce que dans cette personne-là, on se reconnaît. Même si on n’a pas eu de grands-parents paysans, même si on n’a jamais fait de tango, même si on ne travaille pas à l’école suisse, même si je n’ai jamais fait de “sweat-lodge”, même si je n’ai jamais analysé le journal de JP Pernaut… Du coup, “au pire”, on apprend sur la personne sur scène, on apprend sur soi… Au pire. On apprend.
Au “mieux”, qu’est-ce qu’une conférence gesticulée ? Un mélange orageux de ma pensée, mon savoir, et ma conviction politique qui n’est autre que la critique du monde néolibéral (s’il vous plaît !). C’est là où ça prend toute son ampleur. C’est là où l’équilibre est compliqué à mettre en place. Et je ne me permettrais pas de juger qui que ce soit à ce sujet car moi-même je doute encore grave de mon propre équilibre. Donc passons sur l’équilibre des “fils de scoubidou” ma vie/mon savoir/mon (?) politique. Ce qui fait sens et qui fait que j’ai la sensation de revivre quand je sors de 2 jours de conférences gesticulées, c’est d’assister au véritable partage d’un savoir entre gens qui ne sont pas experts de ce savoir. Donc se dire que moi, Pauline, qui suis absolument nullissime pour lire du Bourdieu, pour analyser les medias, pour comprendre le monde hospitalier, qui n’ai jamais travaillé dans une usine d’élevage de poulets, et qui ne sais pas ce qu’est un paysan par rapport à un agriculteur, qui n’ai jamais cherché la définition de “rural” dans le dictionnaire, j’ai le droit d’acquérir ce savoir-là. On est en plein dans la transmission orale des savoirs.
Et attention, c’est pas fini : non seulement j’acquiers un savoir sur le métier de médecin en hôpital (par exemple), mais en plus, j’accède à la critique politique de ce métier (d’où la question : en est-il encore un ?), où on me dit que j’ai le droit de croire en mon idée qu’un médecin n’est pas un distributeur de médicaments, que j’ai le droit de continuer à penser que je devrais avoir la possibilité de discuter avec mon médecin, et de refuser ses médocs, même si la société me dit que ce n’est pas possible, et, que, de là, il faut que je me batte pour mes convictions… (qu’il me reste à mettre en pratique lors d’un atelier futur d’éducation populaire).
La conférence est pour moi un outil qui nous est donné pour mettre en partage ces idées disséminées dans le monde entier dans un nombre incalculable de cerveaux et de corps, ces idées qu’on nous interdit d’avoir, ces idées qui ne sont soi-disant pas “réalisables”… qu’on passe notre temps à mettre dans des mouchoirs blancs dans nos poches au fond de notre pantalon, qu’on passe notre temps à réprimer parce que honteuses, à refouler parce qu’inavouables, à croire qu’on va pouvoir vivre malgré elles…… On nous dit qu’elles ne sont pas “légitimes”, qu’elles sont “utopiques”, que “ce n’est pas possible”, que “tu vas trop loin”, que “tu n’es pas là pour ça”, “tu es tout seul, alors arrête ton char et fais comme tout le monde”… Le pire, c’est quand on nous dit (et ça ressort dans beaucoup de conférences) : “tu es égoïste” [d’oser penser ce que tu penses]… Et alors là, j’avoue que ça me laisse perplexe…
Cet outil nous permet de nous rendre compte qu’on n’est pas seul.
Cet outil nous permet de nous rendre compte qu’on a le droit.
Cet outil nous permet de nous rendre compte qu’on est nombreux.
Cet outil nous permet de nous rassembler.
Cet outil va nous permettre de nous mettre en marche.
Sur un rythme de tango ou un air d’accordéon, pour repousser le mur, comme au rugby, ou détruire nos cages à poules, on est déjà du monde à vouloir changer le monde !
Agenda Conférences Gesticulées - Scop Le Pavé
BONNE NOUVELLE : Le nombre de conférence gesticulées étant exponentiel, (bientôt une soixantaine) nous présentons essentiellement dans cette rubrique l'agenda des conf
SEMAINE DE FORMATION
ET D’EDUCATION POPULAIRE
Du vendredi 02 au samedi 10 Novembre 2012
A Libercourt (62) et Villeneuve d’Ascq (59)
Région Nord-Pas-de-Calais
Organisée par : Avec :
Action-recherche
Stages de...SEMAINE DE FORMATION
ET D’EDUCATION POPULAIRE
Du vendredi 02 au samedi 10 Novembre 2012
A Libercourt (62) et Villeneuve d’Ascq (59)
Région Nord-Pas-de-Calais
Organisée par : Avec :
Action-recherche
Stages de formation
Mener une
recherche populaire
Susciter la
« participation »
Animer un espace
de savoirs
populaires
« Quand on veut, on peut » ?
Pour en finir avec la culpabilisation
des classes populaires
L’égalité en colère
(classe, « race », sexe)
Ménagères contre manageurs :
une autre histoire
de l’organisation du travail
Conférences-débats
Conférence gesticulée
Atelier
Atelier
Cinéma populaire
A l’fosse 5
Bourdieu,
la sociologie est
un sport de
combat
Mécontent et pas
content, disent-ils
STAGES DE FORMATION
1) Mener l’enquête : pratiquer une recherche populaire (stage interne dans le cadre du programme chercheur
citoyen du Conseil Régional) Avec Saïd Bouamama et Jessy Cormont, sociologues, PHARE pour l’Égalité, avec la
participation de Joackim Rebbeca, le Pavé. Du vendredi 02 au samedi 03 novembre 2012 – Libercourt
2) Susciter la participation ? Citoyenneté, démocratie, et inégalités) (stage externe payant sur réservation) Avec
Joackim Rebecca, Le Pavé et Jessy Cormont, sociologue, PHARE pour l’Égalité. Du lundi 05 au mercredi 07 novembre
2012 – Libercourt
3) Animer un espace d’éducation populaire et de production de savoirs populaires (stage externe libre d’entrée
sur réservation) Avec Jessy Cormont, sociologue, PHARE pour l’Égalité et Joackim Rebecca, sociologue, Le Pavé. Du
jeudi 08 au vendredi 09 2012 – Libercourt
CONFERENCE GESTICULEE et CONFERENCES-DEBATS
4) « Quand on veut, on peut ? ». Pour en finir avec la culpabilisation des classes populaires (gratuite et sans
réservation) Conférence-débat de Jessy Cormont, sociologue, PHARE pour l’Égalité et de Joackim Rebecca, Le Pavé.
Mardi 06 novembre - 20h30 – Libercourt
5) L'égalité en colère : discriminations et inégalités (classes, "races", sexe) (gratuite et sans réservation).
Conférence-débat de Saïd Bouamama et Jessy Cormont, sociologues, PHARE pour l’Égalité. Jeudi 08 novembre –
20h30 – Libercourt
6) Ménagères contre manageurs : une autre histoire de l’organisation du travail (public, privé, associatif) (Entrée
libre sur réservation) Conférence gesticulée de Annaig Mesnil et Alexia Morvan, Le Pavé. Vendredi 9 novembre -20h
à l’espace culture de Lille 1 – Villeneuve d’Ascq
ATELIER
7) Désintoxication de la langue de bois (atelier externe entrée libre sur réservation). Atelier animé par Le Pavé et
PHARE pour l’Égalité. Samedi 10 novembre – 13h-17h à l’espace culture de Lille 1 – Villeneuve d’Ascq
CINEMA POPULAIRE A L’FOSSE 5
8) La sociologie est un sport de combat, sur Pierre Bourdieu (Entrée libre et sans réservation-restauration
possible) réalisé par Pierre Carles, 2001. Mardi 06 novembre – 18h – Libercourt
9) Mécontent et pas content disent-ils (gratuite et sans réservation-restauration possible).
Réalisé par des habitant-es de Mons-en-Baroeul (59), avec Mehmet Arikan et Nadia Bouferkas, 2004. Jeudi 08
novembre – 18h30 – Libercourt
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LIEUX : Libercourt (62820) : Local de l’association Ch’faid - sur le site des établissements Loyez, ex-fosse n°5, 3 bd
Faidherbe, Bassin minier, Région Nord-Pas-de-Calais. Contact Ch’faid si besoin. Villeneuve d’Ascq (59650) : Espace
Culture Université de Lille 1 Métro Cité Scientifique ligne 1. Contact Centre de Ressources Critiques si besoin.
FINANCEMENT : La programmation est soit payante [ex : 2) Susciter la participation. Pour information sur
financements possibles des formations contactez joackimrebecca@scoplepave.org, 06.88.23.69.70.], soit entrée
libre, c'est-à-dire payée par un acteur mais gratuite pour le public [ex : 1), 3), 6), 7), 8)] soit gratuite [4), 5), 9)].
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ACTEURS ASSOCIES :
CONTACTS : jessy.cormont@phare-pour-l-egalite.org 06.87.35.51.09. , joackimrebecca@scoplepave.org
06.88.23.69.70., chfaid@free.fr 06.15.93.43.52., Centre de Ressources Critiques : w.tournier@live.fr
06.09.11.20.95.
Je découvre ce père fondateur de l'Education Populaire. Au programme de mes lectures donc son "Pédagogie des opprimés".
Paolo Freire - Revue À babord !
La conception conscientisante de l'éducation ne peut être au service de l'oppresseur. Aucun « ordre » oppressif ne supporterait que tous les (...)
Zone Libre de Videos Alternatives, Rhizome TV ouvre une large place à l'Education Populaire.
Alexia Morvan présente son travail : un doctorat en science de l'éducation dont le thème est l'éducation populaire politique, fallait oser le faire !
Voir 1 messages supplémentaires de Education
Franck Lepage, le compagnon d'Alexia et très connu propulseur de Pavé nous explique patiemment ce que c'est que l'éducation populaire, d'où ça vient et où ça semble vouloir aller !
Jean a créé un événement.
A l'aide, ou comment j'ai arrêté de vouloir sauver l'Afrique
de et par Antoine Souef pour la SCOP du Vent debout
"Nous encourageons l'aide qui nous aide à nous passer de l'aide. Mais en général la politique d'assistance et d'aide n'aboutit qu'à nous désorganis...
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