Le 19 Juillet 1936, alors que les fascistes organisent un coup d'État contre la République espagnole, les ouvriers prennent les armes pour les en empêcher. Mais, loin d'eux l'idée de défendre la République, ils organisent la Révolution sociale et montre au monde entier, qu'ils est possible de repren...
Le 19 Juillet 1936, alors que les fascistes organisent un coup d'État contre la République espagnole, les ouvriers prennent les armes pour les en empêcher. Mais, loin d'eux l'idée de défendre la République, ils organisent la Révolution sociale et montre au monde entier, qu'ils est possible de reprendre sa vie en main! René Binamé rend hommage à ces miliciens de la Liberté et de l'Anarchie! @A l'origine de Serge Utge Royo
Juillet 1936 dans les casernes catalanes La mort bute sur les milices et le peuple compte ses armes Dans les villages et les hameaux les paysans groupent les terres En un seul et riche morceau et passe le vent libertaire
Je pense à vous vieux compagnons dont la jeunesse est à la douane et pardonner si ma...
Juillet 1936 dans les casernes catalanes La mort bute sur les milices et le peuple compte ses armes Dans les villages et les hameaux les paysans groupent les terres En un seul et riche morceau et passe le vent libertaire
Je pense à vous vieux compagnons dont la jeunesse est à la douane et pardonner si ma chanson vous refait mal à votre Espagne Mais j'ai besoin de vous apprendre j'ai envie de vous ressembler Je gueulerai pour qu'on entende ce que vous m'avez enseigné
Donne-moi ta main camarade, Prête-moi ton cœur compagnons ! Nous referons les barricades, Comme hier la confédération !
A quelques heures de Barcelone se sont groupés des menuisiers Et sans patron tout refonctionne on sourit dans les ateliers Sur la place de la mairie qu'on a changé en maternelle Des femmes ont pris la blanchisserie et sortent le linge au soleil
Donne-moi ta main camarade, Prête-moi ton cœur compagnons ! Nous referons les barricades, Et la vie, nous la gagnerons !
Tandis que quelques militaires font leur métier de matadors Des ouvriers, des ouvrières détruisent une prison d'abord Là-bas, c'est la mort qui s'avance tandis qu'ici, Ah madame! c'est l'anarchie! La liberté dans l'espérance il ont osé la vivre aussi
Dame tu mano companero, I presta me tu corazon ! Barricadas leventaremos, Como ahier la confederacion !
La mort bute sur les milices et le peuple compte ses armes
Dans les villages et les hameaux les paysans groupent les terres
En un seul et riche morceau et passe le vent libertaire
Je pense à vous vieux compagnons dont la jeunesse est à la douane
et pardonner si ma...