Pour la naissance d'une politique nouvelle, par la population, pour la population

Chers tous,

J'ai besoin de vous, il va sans dire, pour promouvoir dans notre démocratie des idées qui sont celles de demain. La France est forte, non pas parce qu'il suffit de le dire pour être élu, comme l'étendard d'un rassemblement populaire, mais parce qu'elle est le pays précurseur des idéologies. Aujourd'hui, rassemblons nous pour construire, ensemble, la gouvernance de demain.

Depuis des années, la politique m'apparaît comme un théâtre aujourd'hui devenu comparable à ce que nous offre les divertissements télévisés. Ils sont tous à ne faire que traiter d'une France qu'ils ne connaissent pas. Ce qui les intéresse, ce sont les chiffres qu'ils matraquent comme des indicateurs sacrés qu'ils suivent et manipulent sans relâche, y compris leur côte de popularités, signe d'un pouvoir grandissant qui illustre toute la perversité d'une politique nationale représentative. Je ne ferai jamais de politique. La politique, c'est la recherche du consensus pour satisfaire au plus grand nombre dans un périmètre donné. Quand le cercle devient trop grand, l'hypocrisie est grandissante et le mensonge aussi. Les médias en relatent tout les jours lorsqu'ils révèlent les différents des uns avec les autres, une vraie télé-réalité. Le consensus politique, c'est ne donner à personne ce que tout le monde veut : couper la poire en deux quoi, mais sans la poire.

Pour ne pas la faire longue, il y a des enjeux qui dépassent nos politiques par leurs natures. Il s'agit d'enjeux écologiques, de réserves de matières premières qui auront un impact évident sur l'économie. Des cendres de la crise financière qui nous tourne le dos, donnons une gouvernance nouvelle, qui pourra redonner une économie pérenne, à un pays qui à grand besoin de renouveau et d'un objectif structurel commun. Une telle politique pourrait s'inscrire comme un paradigme pour les économies voisines. Redonnons à la France les idéaux qui lui sont dues et sortons de l'esclavage pour la troisième fois dans notre histoire.
Ici, je ferai la présentation des enjeux qui sont ceux de l'ambition humaine et non pas ceux des moyens de suivi de chiffres purement économiques. Il y a des symptômes de maladies d'une structure vieillissante. Le chômage en est un, l'endettement des ménages, la dette étatique grandissante que l'on fait peser sur les ménages, l'éradication pure et simple de matière première dans une processus de recherche de valeur ajoutée sans tenir compte des ressources perdues.

Je suis un être politiquement incorruptible, loyal à mes idées. La pérennité d'une l'économie juste doit être le fer de lance d'une nouvelle ère dans laquelle s'inscrive des valeurs de tolérance, la sécurité et, dans un moment où l'avenir semble être sombre, certains prédisent l'arrivée des trente piteuses (après la stagnation de la croissance marqué dans les pays occidentaux depuis le premier choc pétrolier). Le progrès a pu être le feu prométhéen par le passé mais il va bien falloir se rendre compte un jour de l'erreur que nous avons faites de croire notre monde comme un lieu d'abondance. Si nous ne voulons pas nous regarder dépérir jusqu'à arriver dans un contexte social très tendu, il est du devoir du politique de créer un système nouveau qui permette l'anticipation de problématiques structurelles inhérents à la société de consommation actuelle sinon quoi les gens finiront, tôt ou tard, par se soulever. Pour éviter un tel soulèvement, il est impératif d'établir une transition vers une économie nouvelle.

Liberté, Solidarité, Tolérance, Égalité

Bien à vous,
Mr. PD

Pour toucher le plus grand nombre et réformer cette institution de clowns que nous offre le cirque politique, retrouver moi :
https://www.facebook.com/MrParaDoxa
M.Para Doxa,
votre constat est une évidence, vous dites en fait tout haut ce que nous ne savons que trop et qui nous brule d'insatisfaction. Paradoxalement, vous ne donnez pas de solution, quant à vous retrouver sur facebook pour mieux vous suivre, autant débattre du droit à la critique politique attaché au radiateur d'un commissariat.
Vous souhaitant une bienheureuse continuité.
madrunner
Run for free, the race is over, no winner, no loser, just running subjects.
madrunner a dit...

quant à vous retrouver sur facebook pour mieux vous suivre, autant débattre du droit à la critique politique attaché au radiateur d'un commissariat.



Ouf, merci pour cet éclat de rire, il m'a fait du bien !