LA VERITE SUR MEGAUPLOAD

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LA VERITE SUR MEGAUPLOAD

La vérité sur l'Affaire Megaupload

Toute cette histoire de soit-disant "droit d'auteur" n'est qu'une ... disons ..."arnaque", ou plutôt "faux prétexte", en voici la démonstration en trois points :

1 - "Certaines sources affirment que l'infraction à la propriété intellectuelle n'est pas la principale raison de la fermeture de Megaupload.
Ainsi, reproduisant l'interview d'un développeur du site, le site contrepoints.org affirme que ce seraient les lobbies des Majors de l'industrie musicale qui auraient fait fermer le site afin d'éliminer la potentielle concurrence d'un système prévu par Megaupload permettant de télécharger gratuitement et légalement de la musique sans compromettre la rémunération des artistes.

En effet, dans cette interview, Emmanuel Gadaix, responsable technique de Megaupload, affirme que ce projet musical appelé Megabox aurait dû être accessible pour l'anniversaire de Kim DotCom, soit le lendemain de son arrestation.

De nombreux artistes (Kanye West, Alicia Keys, Snoop Dogg...) avaient affiché leur soutien à Megaupload dans une vidéo mise en ligne le 9 décembre 2011.

En effet, le système Megabox devait permettre la diffusion légale (c'est-à-dire en accord avec les artistes) de musiques, TOUT EN REVERSANT 90% DES BÉNÉFICES A CES DERNIERS (notamment grâce à la publicité), CONTRE LES 5% QUE LES MAJORS OCTROIENT ACTUELLEMENT AUX ARTISTES.
Selon certaines rumeurs et suppositions, les majors du disque auraient donc fait pression sur le F.B.I. pour empêcher indirectement (via la fermeture de Megaupload) la mise en place d'un système économique vers lequel tous les artistes se seraient très certainement tournés."

2 - Exclusif MegaUpload : le site fermé à cause de sa future offre légale?
Interview d’un salarié Publié le 27/01/2012

MegaUpload aurait été fermé à cause de sa future offre légale. C’est du moins ce que prétendent certaines rumeurs qui courent sur internet. L’interview d’un développeur de Megaupload lève tout doute sur une partie de ces rumeurs : la Megabox était réelle et menaçait directement les Majors. Les supputations selon lesquelles les Majors ont bel et bien hâté l’intervention du FBI pourraient s’avérer exactes.
Comme vous (et le reste de la planète) le savez déjà, MegaUpload a été fermé jeudi dernier. J’en ai parlé dans ces colonnes et je notais déjà que le fait de fermer MegaUpload ne résolvait en rien le problème des Majors du cinéma et de la musique : leur business-model est pourri, et leur combat contre ce genre de concurrent ressemble à un combat d’arrière-garde.

Là où je ne croyais pas si bien dire, c’est qu’il s’est révélé, depuis cette fermeture, que MegaUpload était sur le point de mettre sur le marché un nouveau modèle de distribution d’œuvres musicales et vidéos au travers de son infrastructure.

Selon les informations récoltées, ce nouveau modèle aurait permis la diffusion légale d’œuvres artistiques, en déchargement direct, avec une caractéristique particulièrement intéressante :

Même le déchargement gratuit pour l’internaute aurait permis une rémunération de l’artiste, à hauteur de 90% des profits engendrés, bien au-delà de ce que les Majors acceptent actuellement.

Dans ses déclarations courant décembre 2011, Kim Schmitz, le propriétaire de Mega, avait ainsi expliqué :

« Oui c’est vrai, nous paierons les artistes même pour des téléchargements gratuits.
Le modèle économique de MegaKey a été testé sur un million d’utilisateur, et ça marche. Vous pouvez d’ores et déjà vous attendre à des annonces sur MegaBox l’année prochaine (2012 donc), dont des accords avec des artistes désireux de s’écarter des modèles économiques obsolètes. »

On comprend que si des artistes connus avaient déjà pris langue avec MegaUpload, il devenait plus qu’urgent pour les tenants de l’ancien business-model d’agir et de faire fermer ce qui pour eux allait devenir la boîte de Pandore et signer, à plus ou moins brève échéance, leur acte de décès ; en définitive, les entités « Mega » allaient devenir un concurrent direct et sérieux du géant iTunes et de toutes les majors musicales et cinématographiques mondiales.

Pire, au-delà de l’aspect public, différents outils professionnels (basés sur l’hébergement massif de données) étaient en préparation, avec la force de frappe qu’on imagine lorsqu’on est devenu, en quelques années, l’un des points de passage majeurs de l’Internet.

Pour la presse traditionnelle, tout ceci est, bizarrement, à prendre comme une rumeur. On s’étonne ainsi de découvrir un conditionnel très pointilleux dans les articles de presse relatant ces éléments.

Cependant, l’occasion m’a été donnée de discuter avec l’un des développeurs qui travaillait justement chez Mega, et qui lève tout doute sur la rumeur : oui, MegaUpload préparait bien une version totalement légale de son offre, viable, et particulièrement dangereuse pour l’establishment…

Interview :

Question :
Ainsi donc, tu as été salarié de Megaupload. As-tu rencontré Kim Dotcom personnellement ? Et sur quoi travaillais-tu lorsque le site a été fermé ?

Réponse :
J’ai rencontre Kim il y a quelques années, mais bien avant d’être employé par Mega. Mais je ne le connais pas vraiment. Lorsque l’affaire a éclaté, j’étais employé depuis 4 mois, dans un petit groupe de développeurs dans une grande ville d’Asie du Sud-Est. Je bossais sur un projet de stockage orienté business, pas du tout orienté warez (ndh16:logiciels piratés et échangés sous le manteau), et super user-friendly (ndh16: à l’interface utilisateur conviviale et adaptée pour autre chose que les techniciens purs et durs).

Q :
Comment se passait le travail, l’ambiance ? Les salariés étaient-ils au courant des activités illégales de MegaUpload ?

R :
En fait, l’ambiance était bonne. Les employés étaient confiants dans la légalité de Megaupload. J’avais même un collègue qui bossait sur le système de takedown DMCA, et ça marchait bien.
(ndh16: il s’agit d’un système qui permet de retirer directement un contenu illicite sur demande, suite au Digital Millenium Copyright Act, ici envisagé de façon quasi-automatisé)

Q :
Comment as-tu appris la nouvelle de la fermeture ? Que s’est-il passé ensuite ?

R :
Mon patron m’a appris la nouvelle au bureau, mais c’était déjà dans les nouvelles un peu partout. Ça a été une énorme surprise pour tout le monde. Après, on a été un peu dans le flou quelques jours, puis notre patron nous a dit que les comptes bancaires étant bloqués, il ne pourrait pas nous payer ce mois-ci. Je n’aurais pas de salaire pour Janvier. En parallèle, dès la fin du mois, le bail pour les bureaux va être terminé. Ça a été très vite.

Q :
Et que penses-tu des rumeurs qui disent que MegaUpload a été fermé précisément parce que l’entreprise voulait lancer une offre concurrente aux grosses Majors ?

R :
Je n’ai pas eu de présentation officielle de la stratégie, mais ce que j’en ai entendu, c’est qu’ils voulaient devenir le plus légal possible.
Par exemple, la société avait interrompu il y a six mois le programme de récompense qui permettait aux utilisateurs proposant les contenus les plus populaires (les plus téléchargés) de toucher de l’argent. Dans le même temps, des concurrents sur d’autres sites de téléchargement directs, eux, ont continué leurs propres programmes de récompense, comme si de rien n’était.
Pour montrer sa bonne foi, une partie des serveurs de MegaUpload ont été mis aux Etats-Unis, afin de bien montrer que l’entreprise n’avait rien a se reprocher, et voulait rentrer dans le rang. Pour dire, même les serveurs de mail étaient aux Etats-Unis, ce qui a d’ailleurs permis au FBI de lire les e-mails.
Les demandes de retrait de contenu illicite (« takedown DMCA ») étaient honorés très rapidement, bien plus qu’avant.
Et surtout, je confirme que la Megabox n’était pas une façade. Kim avait la conviction que le business-model des majors était dépassé et que son service était l’avenir. D’ailleurs, il avait envoyé un représentant au Sénat français pour expliquer leur façon de travailler, et aussi montrer leur bonne volonté vis-à-vis des pouvoirs publics et de la légalité. La présidente de la HADOPI l’avait même invité en Février pour discuter. D’ailleurs, même le président de la SACD, Pascal Rogard, celui qui lui avait fait les signes de menottes en public, l’avait invité ! Et là, le but était que Megabox ait le label HADOPI. »
—-

Comme on peut le constater, non seulement, le lancement de la Mégabox était imminent, mais il y a fort à parier que les Majors ont bel et bien hâté l’intervention du FBI à cause de ça ;
notez l’absence de réaction du même FBI sur les autres sites concurrents qui, eux, de notoriété plus faible, ne tentaient pas de mettre en place un service court-circuitant l’industrie multimédia…
Cette affaire illustre de façon limpide le capitalisme de connivence, la collusion étroite entre une certaine industrie et les autorités judiciaires, bien plus promptes à faire respecter le status quo que l’égalité devant la loi.
Source : http://www.contrepoints.org/2012/01/27/66578-exclu...

3 -

Le procès de MegaUpload pourrait ne jamais avoir lieu :

L'affaire MegaUpload est décidément très particulière.

Alors que plusieurs irrégularités ont été relevées depuis le 19 janvier, le juge américain en charge du dossier a indiqué que le procès de Kim Dotcom et ses comparses pourrait ne jamais avoir lieu... à cause d'une nouvelle erreur de procédure.

À mesure que le temps passe, le flou s'épaissit sur les conditions de l'arrestation du fondateur de MegaUpload et de la neutralisation de son service d'hébergement.

Alors que l'acte d'accusation contre Kim Dotcom est déjà particulièrement conséquent, celui-ci s'étant même alourdi en début d'année, il apparaît aujourd'hui que le procès de MegaUpload pourrait ne jamais avoir lieu.

Interrogé par le New Zealand Herald, le juge américain en charge du procès a déclaré ne pas savoir si cette affaire allait connaître un jour une issue judiciaire.

Visiblement, MegaUpload n'a jamais été formellement accusé d'infractions pénales.

C'est en tout cas ce qu'a indiqué le magistrat au FBI. Or, il s'agit manifestement d'une condition sine qua non pour la suite des évènements.

"Je crois comprendre les raisons pour lesquelles ils ne l'ont pas fait jusqu'à présent ; c'est parce qu'ils ne le peuvent pas. Nous ne croyons pas que MegaUpload peut être cité à comparaître dans une affaire criminelle parce que [la société] n'est pas située dans une juridiction des États-Unis" a commenté Ira Rothken, l'avocat américain de MegaUpload.

Cette erreur de procédure, si elle se confirme, serait une bévue de plus dans le feuilleton judiciaire de MegaUpload. Depuis janvier, plusieurs éléments pour le moins troublants sont en effet venus l'entacher, au risque pour les autorités d'alimenter la théorie du complot politique évoquée en filigrane par Kim Dotcom. L'affaire aurait été montée de toutes pièces par l'administration américaine et les lobbies culturels.

Il est déjà apparu que la police néo-zélandaise a utilisé lors de la perquisition un mandat qui n'était pas régulier et qu'elle a tenté sans succès de le remplacer rétroactivement. La juge Judith Potter avait alors déclaré que l'ordonnance contre Kim Dotcom et ses comparses était "nul et non avenu" et n'avait en conséquence "aucun effet juridique".

L'arrestation elle-même est suspectée d'irrégularité.

La police néo-zélandaise est en effet suspectée de cacher des preuves concernant l'opération manifestement disproportionnée menée par les forces de l'ordre contre le domicile de Kim Dotcom.

Or, le serveur sur lequel les vidéos étaient censées se trouver a été découvert désossé, empêchant les avocats de la défense de porter plainte contre la police.

Source : http://www.numerama.com/magazine/22399-le-proces-d...

Et tout le reste à l'avenant; concernant musiques et autres (beaucoup d'artistes et créateurs soutiennent le téléchargement car cela leur assure une sorte de "publicité promotionnelle, comme ceux qui soutenaient au cours d'une video construite à cet effet, le projet issu de Megaupload car ils bénéficiaient de beaucoup plus de revenus émanant de leur création...alors que les "Majors" se taillent "la part du lion", l'artiste dans ses débuts de publications, ne touchent que 5% sur la vente, et 10% après la troisième année... peut-être 15% pour ceux qui ont beaucoup de chance. Comme il est dit dans le texte, Kim Dotcom.voulait inverser cet état de fait.

Une video ou un film sont supprimés lorsque leur présence est constatée par une "Major" qui fait alors plusieurs réclamations auprès du site/support...

Par ailleurs, il arrive régulièrement que « certaines » videos « sensibles » soient "bizarrement" censurées...raison pour laquelle j'enregistre les plus sensibles avant qu'elles disparaissent éventuellement

Galdar

Post-Scriptum de dernière information (qui démontre bien le fait) ou "exergue" :

Téléchargement illégal: les studios hollywoodiens pris en flag'

Stagiaire Focus Vif

vendredi 28 décembre 2012 à 14h10

Les studios Paramount, Warner Bros, Disney, Sony ou encore 20th Century Fox seraient impliqués dans le téléchargement illégal de films et de séries selon TorrentFreak

Il y a comme une odeur de brûlé à Hollywood: les grands studios de la capitale mondiale du cinéma téléchargeraient illégalement des films et séries. Un comble pour ces majors censées défendre l'industrie cinématographique du piratage... © Reuters
Le site américain TorrentFreak, spécialisé dans l’actualité du partage peer-to-peer, révèle que des adresses IP attribuées à de grands studios ont été relevées sur les serveurs d’échanges peer-to-peer. Leurs ordinateurs ont été tracés sur des plateformes de téléchargement à l'aide du logiciel ScanEye, qui permet de définir les adresses IP des ordinateurs sur lesquels tels ou tels films ou séries ont été téléchargés. Les conclusions de l'enquête menée par les experts à l'aide de ce logiciel sont sans appel: des téléchargements illégaux auraient été effectués depuis des adresses IP menant tout droit aux locaux de Paramount, Warner Bros, Sony Pictures, 20th Century Fox et Disney.

Dire que l'information fait tache serait un euphémisme. Depuis des années, les grandes majors vilipendent les affreux pirates du Net qui tuent l’industrie culturelle par le partage de copies illégales sur le Web. Les studios hollywoodiens susmentionnés font même partie de la MPAA, Association interprofessionnelle défendant les intérêts de l'industrie cinématographique américain et réputée comme combattante intraitable contre les téléchargements illégaux.

Les autorités américaines espéraient peut-être qu’en fermant Megaupload, le téléchargement illégal allait s’effondrer. Presque un an après sa clôture, il s'avère que ce n'est pas tout à fait le cas. Chaque jour, BitTorrent est utilisé par des millions de personnes dans le monde. Et visiblement, des personnes qui travaillent dans l’univers du cinéma font partie du lot.

On télécharge un peu de tout… même du porno

Les films visés changent en fonction des studios. A la Paramount, on apprécie particulièrement Hunger Games, Happy Feet ou Battle Force. Chez la Warner Bros, on préfère les films de gros bras comme Expendables 2 ou la série policière NCIS. Et si l'on scrute chez Sony, les goûts sont tout autres puisque c’est L’Age de glace 4 qui arrive en tête, d'après l’étude. Pour l'anecdote, un film pornographique figure également dans la liste.

Bien entendu, certains diront que les studios ont opéré de la sorte pour mieux repérer les adresses IP illégales. En soi, si un particulier partage l'un de leurs fichiers, il est dans l’illégalité et l'une des excuses des firmes pourrait être de s'être inscrits sur un Torrent pour surveiller les pirates du Web. Mais comment expliquer alors que ces majors aient choisi de télécharger des films qui ne leur appartenaient pas? La manière la plus simple aurait été de prendre un film de Disney pour la firme aux grandes oreilles, The Dark Knight Rises pour la Warner et ainsi de suite. Les studios semblent donc bel et bien pris la main dans le sac.

Sony, Fox et Universal déjà repérés par le passé

Comme le rappelle TorrentFreak, ce n’est pas la première fois dans l’histoire des peer-to-peer que des employés de studios sont suspectés. Sony, Universal et la Fox ont aussi été flashés il y a un an sur les autoroutes du téléchargement, finalement pas si mal fréquentées que ces majors ne le clament à longueur de journée. Certains avaient même alimenté les réseaux en organisant la fuite désormais célèbre de Star Wars III: La revanche des Sith et surtout de Wolverine Origins, qui avait filtré sur internet sans ses effets spéciaux finalisés, plus d'un mois avant sa sortie au cinéma.

Peut-on pour autant déclarer que les employés sont coupables de ces actes de contrefaçon? La preuve n’est pas formelle. La faiblesse de ce système est qu’une adresse IP, véritable carte d’identité d’un ordinateur sur le réseau, peut être piratée par un compte externe ou bien encore apparaître dans les trackers sans pour autant pirater quoi que ce soit.

Source : http://focus.levif.be/loisirs/cinema/telechargemen...

Comme quoi, il est prudent de "crypter son IP
Galdar
Kit Dotcom continue son combat contre les "Majors" prédatrices en ré-ouvrant Megaupload demain à 19h, sous le nom "Mega" :
http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/internet/...
Galdar
Avec Mega, 50 Go d'espace de téléchargement gratuit

Hier, Kim Dotcom a annoncé une nouvelle surprise, avec l’octroi de 50 Go d’espace de stockage gratuit pour tous les comptes Mega. Il souhaiterait également redonner leurs privilèges aux anciens membres premium du service de téléchargement Megaupload...
Fabrice
A semble très prometteur tout ça
Fabrice
Ca bouge, ça bouge !
Galdar
Dernières informations qui rendent justice à la réalité :

Une étude révèle que le téléchargement illégal a des effets positifs sur les ventes de musique :

Une étude réalisée par l’Institut pour les Etudes Prospectives Technologiques révèle que le téléchargement illégal a des effets positifs pour l’ind...
Galdar
Les ventes d'albums augmentent quand ils sont piratés avant leur sortie :

Le téléchargement tue-t-il les artistes, comme l'affirme l'industrie de la musique ? Pour un chercheur américain, cela reste à démontrer. Auteur d'une étude sur l'impact du P2P sur les futures ventes d'albums non encore sortis ...
Galdar
L'Hadopi nomme un hadopi-sceptique pour conduire une mission :
L'Hadopi a confié au professeur Patrick Waelbroeck le soin de réaliser une étude sur l'économie de la musique en ligne, et le partage de valeur entre les acteurs de la filière. Le chercheur de ParisTech est un habitué de l'analyse de l'im...
Galdar
Une étude indique que la loi Hadopi augmente le piratage :

Selon une étude conjointe du laboratoire M@rsoin et de l'Université de Rennes, le piratage aurait augmenté après la promulgation de la loi Hadopi. Si la part des utilisateurs des réseaux P2P a baissé, le nombre des utilisateurs des techniques...
Galdar
Hollywood enterre une étude qui démontre que les pirates sont de bons clients :

Une étude qui démontrait que les utilisateurs d'un site de liens de streaming étaient en fait de meilleurs consommateurs de biens culturels que les autres a été enterrée par son commanditaire, qui espérait le résultat inv...
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