1+1+1+1+1+…= PEUPLES
Nous sommes des militants du Parti de Gauche des Pyrnes-Orientales en France et nous entendons depuis des mois, par-dessus la M驩diterrane, les Alpes ou les Pyrn驩es, les cris, les clameurs, la fureur du peuple grec et du peuple italien et du peuple espagnol, notre voisin – et nous entendons et nous partageons la colre qui grandit chez nous et dans tous les autres pays d’Europe.
Alors pour commencer…
vous, mesdames et messieurs de la Finance Internationale et de la Banque…
耀 vous, mesdames et messieurs des Gouvernements Europens qui obissez 驠 la Finance Internationale et la Banque…
Nous disons:
ࠫMerde !;
Le mot n’est pas joli. C’est un mot grossier. C’est vrai.
Mais c’est un mot simple. International! Un mot populaire. Que chacun comprendra partout en Europe. M*me vous!
En fait, c’est le seul qui nous vient. Et pour nous, c’est le mot juste – celui qui qualifie exactement le syst(me conomique et politiqueque vous nous imposez et la vie que vous nous faites mener頠: ˠune vie de merde!
Il n’y a pas de mondialisation heureuse۠!
Il n’y a sur notre nuque que le talon de la libralisation et de l’austrit驩 forces.
Il n’y a que la baisse des salaires et des retraites, le chmage de masse, la pr鴩carit pour seul horizon…
Et il y a vous! Celles et ceux de la Finance et de la Banque qui prenez les paris sur nos malheurs et qui 頪tes pour nous la plus toxique des charges sociales.
Avec vos amis des Droites et des extrme-Droites europennes – d’accord toujours pour dꩩnoncer l’tranger quand il est pauvre, jamais quand il est banquier – avec vos amis de cette Gauche dite socialiste mais librale, vous avez fait du r驪ve europen, un cauchemar gn驩ralis.
Bien sr, nous aurions pu, comme 黠 l’ordinaire, appeler au dbat sur la concurrence, la comptitivit驩, la flexibilit, les restructurations, la rentabilit, les d驩localisations, la mondialisation et la Crise qu’il nous faut rgler et la Rcession et la Dette qu’il nous faudrait payer.
Et vous, comme 驠 votre habitude, vous nous auriez fait la Leon. Et de blablater sur les questions qu’il convient de poser – les bonnes questions – et surtout, vous nous auriez fait les bonnes rponses.
H穩 bien… cela aussi, nous disons :
ˠMerde!
Deux fois Merde۠!
a suffit.
Dǩsormais, le dbat nous l’aurons, mais sans vous! Car en ignorant la volont頩 populaire pour lui prfrer la dictature des march驩s, vous vous en tes exclus. Dsormais, les questions, nous nous les poserons nous-mꩪme. Et d’abord partir de notre vie.
Quant aux rponses, nous les trouverons et elles iront dans un sens auquel vous ne cessez de vous r੩frer, mais qui semble vous chapper – celui de l’int驩rt gnꩩral et de la dmocratie.
Enfin des solutions qui nous conviennent – et que nous ferons appliquer! Avec ou contre vous頠!
ˠPrenons le Pouvoir!
C’est notre appel۠!
Alors pour commencer…
vous, mesdames et messieurs de la Finance Internationale et de la Banque…
耀 vous, mesdames et messieurs des Gouvernements Europens qui obissez 驠 la Finance Internationale et la Banque…
Nous disons:
ࠫMerde !;
Le mot n’est pas joli. C’est un mot grossier. C’est vrai.
Mais c’est un mot simple. International! Un mot populaire. Que chacun comprendra partout en Europe. M*me vous!
En fait, c’est le seul qui nous vient. Et pour nous, c’est le mot juste – celui qui qualifie exactement le syst(me conomique et politiqueque vous nous imposez et la vie que vous nous faites mener頠: ˠune vie de merde!
Il n’y a pas de mondialisation heureuse۠!
Il n’y a sur notre nuque que le talon de la libralisation et de l’austrit驩 forces.
Il n’y a que la baisse des salaires et des retraites, le chmage de masse, la pr鴩carit pour seul horizon…
Et il y a vous! Celles et ceux de la Finance et de la Banque qui prenez les paris sur nos malheurs et qui 頪tes pour nous la plus toxique des charges sociales.
Avec vos amis des Droites et des extrme-Droites europennes – d’accord toujours pour dꩩnoncer l’tranger quand il est pauvre, jamais quand il est banquier – avec vos amis de cette Gauche dite socialiste mais librale, vous avez fait du r驪ve europen, un cauchemar gn驩ralis.
Bien sr, nous aurions pu, comme 黠 l’ordinaire, appeler au dbat sur la concurrence, la comptitivit驩, la flexibilit, les restructurations, la rentabilit, les d驩localisations, la mondialisation et la Crise qu’il nous faut rgler et la Rcession et la Dette qu’il nous faudrait payer.
Et vous, comme 驠 votre habitude, vous nous auriez fait la Leon. Et de blablater sur les questions qu’il convient de poser – les bonnes questions – et surtout, vous nous auriez fait les bonnes rponses.
H穩 bien… cela aussi, nous disons :
ˠMerde!
Deux fois Merde۠!
a suffit.
Dǩsormais, le dbat nous l’aurons, mais sans vous! Car en ignorant la volont頩 populaire pour lui prfrer la dictature des march驩s, vous vous en tes exclus. Dsormais, les questions, nous nous les poserons nous-mꩪme. Et d’abord partir de notre vie.
Quant aux rponses, nous les trouverons et elles iront dans un sens auquel vous ne cessez de vous r੩frer, mais qui semble vous chapper – celui de l’int驩rt gnꩩral et de la dmocratie.
Enfin des solutions qui nous conviennent – et que nous ferons appliquer! Avec ou contre vous頠!
ˠPrenons le Pouvoir!
C’est notre appel۠!
